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Auvergne une région magnifique à explorer. Vous y verrez les villages d'Auvergne. Les traditions et cuisine auvergnates. L'histoire et les légendes d'Auvergne, Des photos du siècle dernier. Les blogs et site qui parlent de notre région. Les personnalités auvergnates. La littérature du terroir. Des histoires drôles. Des photos de votre jeunesse . Et enfin une impression de faire partie de ce site tant les situations et évènements vous ressemblent. Bonne visite Vous pourrez également me soumettre des articles concernant votre village ou hameaux . Me parler des histoires locales M'envoyer des photos de familles anciennes en précisant bien le lieu ou la situation Voici mon adresse émail. retrauzon43@gmail.com

Blagues Auvergnates tome 2

Au guichet de la gare de Clermont, cinq Auvergnats Issoiriens achètent un seul billet de train pour Paris, étonnés,  cinq parisiens qui  étaient derrière demandent:

"pourquoi vous ne prenez qu'un billet pour cinq?"

"question de rentabilité, vous allez voir" répondit un des Auvergnats sûr de lui.

Une fois dans le train, nos auvergnats  vont tout les cinq dans les toilettes au moment du passage du contrôleur, qui toque et dit:

"billet s'il vous plait!!"

Ils glissent alors le billet sous la porte et le tour est joué. Les parisiens  restent abasourdis et un peu jaloux.

Lors du retour la coïncidence veut que les parisiens retournent en province  et gare de Lyon  ils demandent un nouveau billet. Cette fois ci, les parisiens  prennent un seul billet et les auvergnats  aucun, ce qui intrigue nos amis.

A bord, un des Auvergnats dit " attention, vla' le contrôleur" et là les cinq  Parisiens  filent dans les toilettes et s'enferment.

Mais c'est un des Issoiriens  qui arrive et qui toque en disant "billet s'il vous plait!!", le billet est alors glissé sous la porte et l'auvergnat s'en empare...

L'histoire se déroule sur le plateau du Cézalier par souci de discrétion nous tairons le nom du village qui est non loin du Signal .

C’est Lucien  qui est au bistrot d'Anzat Le Luguet , au beau milieu de la journée, bien occupé à se saouler. Le patron du troquet, voit bien qu’il y quelque chose qui coince.

- Bé, Lucien , pourquoi qu’t’es là, en train de te saouler, par une belle journée comme aujourd’hui ?
- Y’a des affaires qu’on peut point expliquer...

- Qu’est-ce qui t’arrive de si grave ?
- Bé, tu vois, ce matin, j’étais dans l'étable en train de traire ma vache. Cette saloperie a donné un coup avec sa patte gauche sur le seau et l’a renversé.
- Ça a pas l’air si grave que ça...
- Ouais, mais si… Y’a des affaires qu’on peut point expliquer...

- Alors, il s’est passé autre chose ?
Lucien, accablé, hoche la tête :
- Là, j’ai décidé d’attacher la patte gauche de la vache au poteau pour pas qu’elle recommence.
- Et puis ?
- Bé, j’me suis rassis et j’ai recommencé à la traire. Quelques minutes plus tard, elle a donné un coup sur le seau avec sa patte droite.

 - Encore ?
- Bé oui... Saloperie ! Y’a des affaires qu’on peut point expliquer...
- Alors, qu’est-ce que t’as fait ?
- J’ai décidé d’attacher la patte droite sur l’autre poteau pour pas qu’elle recommence. Là, elle ne pouvait plus donner de coup de patte puisque les deux étaient attachées de chaque côté.
- Et ça a marché ?
- Bé, j’me suis rassis et j’ai recommencé à la traire. Tout allait bien, jusqu’à cette saleté de vache donne un coup de queue et renverse le seau encore une fois.
- Ah, la vache !
- Ouais. Tu l’as dit. Y’a des affaires qu’on peut point expliquer...

- Qu’est-ce que t’as fait ensuite ? qu’il demande le patron, intrigué…
- Bé là, je n’avais plus de corde sous la main, alors j’ai enlevé ma ceinture pour attacher sa queue sur un poteau pour pas qu’elle recommence cette carne. Seulement, juste comme je venais de finir d’attacher la queue, mon pantalon est tombé.
- Et alors... ? ! ? !
- Bé, c’est à ce moment que la Ginette, ma femme, elle est entrée dans l'étable... Y’a des affaires, j’te l’dis qu’on peut point expliquer... On peut point…

L’histoire se déroule dans la ville de Brioude

C'est un petit garçon qui rentre de l'école en pleurant.

- Qu'as-tu, lui demande sa jolie blonde de maman

- J'ai eu un zéro en géographie.

- Pourquoi ?

- Je ne savais pas où est le Portugal.

- Tu ne sais pas ?! Quel idiot, passe-moi la carte de France.

 

Et la mère cherche, cherche ...

- Bon dieu, elle n'est pas assez précise, passe-moi la carte de l’Auvergne .

 

Et la mère cherche, cherche ...

- Elle est nulle cette carte, passe-moi la carte de la Haute Loire !

 

Et la mère cherche, cherche...

- Bon sang, ça ne peut pas être si loin le Portugal, la femme de ménage est portugaise, elle vient travailler tous les jours à vélo !!!

 

Nous sommes à la foire à Brion  Fernand  essaie de vendre sa vache 100 Euros. La vache est une vielle bête avec la peau sur les os, qu'il vend parce qu'il ne parvient plus à la nourrir.
Évidemment, aucun client ne se manifeste.

Un Clermontois qui a le sens des affaire observe puis s'approche...
- Tu n'as rien compris à la vente, laisse-moi faire. Si je te la vends, on fait 50% pour moi et 50% pour toi.
Résigné, Fernand  accepte. L'homme commence la vente :
- Voici la toute dernière race de bovin, enfin mise à votre disposition.
La foule commence à s'avancer, se masser.
- Eh oui, mesdames et messieurs, cette vache est le dernier cri de la génétique africaine.
Pour cette curiosité, les enchères commencent à monter : 100 Euros, 200, 300, 500 Euros.
- Et plus fort, elle a été inséminée artificiellement et elle fera bientôt deux veaux.
Et les enchères continuent de montent 550, 600, 1000 Euros.
L'homme continue :
- Avec les veaux, une vache et un taureau, plus de problème de descendance. Et les enchères s'enflamment : 1 500 Euros, 2 000 Euros !
Alors à ce moment là, Fernand  va voir l'homme et lui dit :
- Je ne vends plus ma vache!
- Et pourquoi, regarde tout l'argent qu'on va gagner...
- Oui, mais elle vaut si cher que je préfère la garder !

 

Trois  vieux  amis assis sur le banc au point sublime admire le village d'Auzon en contrebas  et sont perdus dans leurs pensées quand :

Pierrot dit
– Que faites-vous depuis que vous êtes en retraite…?
Jean dit
– Moi, je fais de la photo.
Gaston dit
– Moi, je jardine.
Et Pierrot de rétorquer
– Moi, je fais de la recherche…!

Les autres deux
– Ah bon…! Et dans quoi…?
– Tous les jours, je cherche mes lunettes, ma canne, mon dentier, mes clés…

A la caisse d'un supermarché du bassin minier , une vieille dame choisit un sac en plastique pour ranger ses achats.La caissière lui reproche de ne pas se mettre à l'écologie et lui dit: " Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique.Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources ! La vieille femme s'excuse auprès de la caissière et explique : -Je suis désolée, il n'y avait pas de mouvement écologiste de mon temps." Alors qu'elle quitte la caisse, la mine déconfite, la caissière ajoute : "Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à nos dépens.C'est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l'environnement dans votre temps ! Alors, un peu énervée, la vieille dame fait observer qu'à l'époque on retournait les bouteilles de verre consignées au magasin.Le magasin les renvoyait à l'usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau.Les bouteilles étaient recyclées, mais on ne connaissait pas le mouvement écologique. Elle ajoute : De mon temps, on montait l'escalier à pied : on n'avait pas d'escaliers roulants et peu d'ascenseurs. On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu'il fallait se déplacer de deux rues : On marchait jusqu'à l'épicerie du coin.Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.On ne connaissait pas les couches jetables : On lavait les couches des bébés. On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde.
On avait un réveil qu'on remontait le soir. Dans la cuisine, on s'activait pour préparer les repas ; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu'EDF en produit.Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boîtes ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.On n'avait pas de tondeuses à essence autopropulsées ou auto portées : On utilisait l'huile de coude pour tondre le gazon.On travaillait physiquement; on n'avait pas besoin d'aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité.Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.On buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif.On n'utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter.On remplissait les stylos dans une bouteille d'encre au lieu d'acheter un nouveau stylo.On remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir entier après quelques utilisations.Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.Les gens prenaient le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l'école à vélo ou à pied au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi 24 H sur 24.Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d'une année sur l'autre, les crayons de couleurs, gommes, taille-crayon et autres accessoires duraient tant qu'ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rentrée.Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
On n'avait qu'une prise de courant par pièce, et pas de bande multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui.
ALORS VIENS PAS ME FAIRE CHIER¦AVEC TON MOUVEMENT ECOLOGISTE !
Tout ce qu’on regrette, c’est de ne pas avoir eu assez tôt la pilule, pour éviter d’engendrer la génération des jeunes cons comme vous, qui s’imagine avoir tout inventé, à commencer par le travail, qui ne savent pas écrire 10 lignes sans faire 20 fautes d’orthographe, qui n’ont jamais ouvert un bouquin autre que des bandes dessinées, qui ne savent pas qui a écrit le Boléro de Ravel... (pensent même que c’est un grand couturier), qui ne savent pas mieux où passe le Danube quand on leur propose Vienne ou Athènes, etc. Mais qui croient tout de même pouvoir donner des leçons aux autres, du haut de leur ignorance crasse !
MERDE à la fin !Merci de ne pas imprimer ce message afin de préserver l'environnement. Mais ne vous privez pas de faire suivre !(ah ! ça défoule !)

 

 

L'histoire se déroule au début des années 60 aux galeries de Jaude à Clermont Ferrand
Bertrand fils de paysan et son père Gaston lors de la fin d'une visite à l'Hôpital de l'Hôtel dieu ont un peu de temps avant de prendre le train qui les conduira dans leur village non loin de Laqueuille et rentrent dans le grand magasin.
. Ils étaient abasourdis par presque tout ce qu'ils voyaient, et plus particulièrement par deux murs brillants de couleur argent qui pouvaient s'ouvrir en deux et se refermer. Le petit garçon demanda: "C'est quoi, Père?"

Le Gaston, n'ayant jamais vu un ascenseur auparavant, répondit:
"Fils, je n'ai jamais rien vu de tel dans ma vie. Je ne sais pas ce que c'est."

Alors que le petit Bertrand et son père regardaient avec admiration, une vieille femme dans un fauteuil roulant avança jusqu'aux murs et appuya sur le bouton. Les murs s'ouvrirent et la dame roula jusque dans la petite salle.

Les murs se fermèrent et le petit garçon et son père regardèrent les chiffres défiler séquentiellement sur un cadran au-dessus des murs. Ils continuèrent de regarder jusqu'à ce que les chiffres se mirent à défiler dans l'ordre inverse. Les murs s'ouvrirent à nouveau et une très belle jeune femme de 24 ans sortit.

Le père, ne pouvant pas lever les yeux de la jeune femme, murmura à son fils:
" On va chercher ta mère."

 

 

 

L'histoire se déroule dans les années 50-60 dans la montagne cantalienne.

Une jeune touriste américaine tombe en panne aux environs de Salers
Heureusement pour elle, elle est secourue par deux fermiers, qui l'hébergent pendant que sa voiture est au garage...
Ne sachant comment les remercier, elle décide d'utiliser le seul talent que la nature ait bien daigné lui offrir, et leur propose donc une petite partie de jambes en l'air...
Les deux paysans acceptent donc, mais avant de commencer, elle leur donne à chacun un préservatif.
- Qu'est-ce que c'est ? Demandent-ils en cœur ?...
- C'est pour éviter que j'aie un enfant, leur répond-elle. Ils enveloppent donc leur matériel, et se mettent au travail...
Suite à cela, la fille repart vers l'autre côté de l'Atlantique.
Trois mois plus tard, les deux paysans songent encore à leur nymphe américaine :
- Elle était jolie, hein ?
- Bien sûr ! Mais j'en ai marre! Enfant ou pas enfant, je vais l'enlever son préservatif...

Un vieux parisien en vacances d'hiver en Auvergne au Mont Dore  eut l'idée d'aller pêcher dans un lac gelé au Guery .

Pêcher, il savait ; il avait fait ça toute sa vie. Mais faire un trou dans un lac gelé, c'était la première fois. Il s'installe donc avec son matériel au bord du trou et commence à attendre. Au bout d'une heure, il n'avait toujours rien attrapé.
C'est alors qu'arrive un gamin, qui perce un autre trou non loin de celui du vieux et qui se met à pêcher aussi. Cinq minutes plus tard, le gamin s'agite et sort une belle truite de trois livres. Le vieux pense que c'est de la chance et prend son mal en patience.
Mais cinq minutes après, le gamin sort une autre truite de 35cm , puis une autre , et encore ...! N'y tenant plus, le vieux s'approche du gamin :
- Hé petit, ça fait plus d'une heure que je suis là et je n'ai rien pris, et toi en un quart d'heure tu te prends une demi-douzaine de monstres.. Comment tu fais ?
- Fo waé lé wée o ho ! répond le gamin.
- Hein ?
- Fo waé lé wée o ho !
- Ch'comprends rien, tu peux articuler ?
Alors le gamin crache un truc dans sa main, puis dit :
- Faut garder les vers au chaud !

Fernande a acheté une armoire chez Ikea à Clermont Ferrand et a décidé de la monter toute seule, sans attendre son mari. Elle regarde bien le plan et se met à l'ouvrage. Voilà, c'est fait. Mais en bas, dans la rue, la RAM de tramway passe. Le sol vibre, et l'armoire se met à trembler, et la voilà par terre. Fernande ne s'avoue pas vaincue. Elle reprend le montage, en suivant bien les étapes une après l'autre, elle ajoute même un point de colle ici et là... Voilà, c'est terminé. Mais la RAM de tramway qui fait la navette est revenu, et de nouveau le sol vibre, l'armoire tremble, tremble et plaf, elle s'effondre. Exténuée elle appelle le service après-vente Ikea. On lui envoie aussitôt un technicien. En arrivant, celui-ci dépose sa sacoche, laisse son mégot dans le cendrier et déclare :
- Bien, voyons ça, je vais refaire le montage et nous verrons ce qui se passe. Il assemble normalement et, en un quart d'heure, l'affaire est réglée.
- Hé bien, elle est très bien cette armoire, où est le problème ?
- Attendez un peu que le tram passe, et vous verrez... Le tram passe effectivement, et le sol vibre, l'armoire tremble, et l'armoire tombe en miettes.
- J'aurai le dernier mot ! dit le technicien, et il recommence le montage, mais avec de la colle super forte, des vis supplémentaires, de grands coups de marteau... Et le tram qui continue son service passe dans la rue, et le sol vibre, l'armoire tremble, tremble, tremble et vlan, elle se retrouve en mille morceaux. Le technicien se fâche :
- Putain de merde ! J'en aurai le cœur net. Je vais tout remonter normalement, et je vais me mettre à l'intérieur pour voir ce qui se passe quand ça vibre.
Et c'est à ce moment là que le mari de la dame rentre du travail. Il voit la sacoche, le mégot, et demande à sa femme :
- Fernande tu me trompes, j'en suis sûr maintenant. À qui est cette sacoche ? et ce cigare ? Tiens, et cette armoire, c'est nouveau ! Ton amant est là-dedans, je le sais !.
Et il ouvre l'armoire.
- Alors, qu'est-ce que vous foutez là, vous ?
- Ben, vous n'allez pas me croire, mais j'attends le tram...

 

 

Sur la N102 Maurice  occupe toute la largeur de la route avec son tracteur.

Derrière, ça énerve un jeune type qui le suit dans une superbe voiture de sport et qui, l'occasion se présentant entre Coubladour et Borne  , met les gaz et double le tracteur en trombe en hurlant au paysan, en montrant son capot :
- Il y a 200 chevaux là-dessous.

Il va si vite qu'il loupe un virage un peu serré et tombe dans un étang. Quelques minutes plus tard, Maurice  arrive à sa hauteur :
- Alors, on fait boire ses bêtes ?

 

Le petit Paul   fils d'un cheminot Clermontois assis sur le quai de la gare d'Issoire se met à rêvasser et se souvient quand il jouait  au train électrique sur le tapis du salon pendant que sa maman faisait  à son repassage..............

La maman entend : "Gare de saint Germain des Fossés......... tous des pédés  10 min d'arrêt..."
La maman : "Paul s'il te plaît surveille ton langage, sinon je t'envoie dans ta chambre..." Le petit Paul continue à jouer...
" Gare de Clermont...Gare des cons ...... 15 min d'arrêt..."
La maman : "Paul cesse d'être grossier sinon tu vas dans ta chambre..."
Quelques minutes passent et le petit Paul : " Gare d'Arvant ... tous des glands... 3min d'arrêt..."
Le petit Paul n'a pas le temps de finir sa phrase, il prend une paire de gifles, sa maman l'envoie dans sa chambre.
Le petit Paul pleure, hurle, trépigne rien n'y fait...
Le temps passe, la maman termine son repassage, tout en pensant qu'elle a peut être été un peu sévère avec Paul.

Elle finit par aller le rechercher, et le petit Paul peut reprendre son jeu...
Le petit Paul recommence à jouer et après quelques minutes la maman entend : "Gare d'Alleyras ... deux heures de retard à cause d'une connasse..."

 

 

 

A la faculté Blaise Pascal à Clermont-Ferrand 

un professeur de psychologie commence son cours :
- Aujourd'hui, nous allons étudier les différents stades de la colère.
Il fait venir un téléphone dans la salle, compose un numéro au hasard et demande :
- Bonjour Madame, pourrais-je parler à Jacques, s'il vous plaît?
- Vous faites erreur, il n'y a pas de Jacques à ce numéro.
Il se tourne alors vers les étudiants et dit :
- Vous venez d'assister à la phase de mise en condition.
Il recommence et la dame, un peu agacée, répond :
- Je vous ai déjà dit qu'il n'y avait pas de Jacques ici!
Il réitère une bonne douzaine de fois, raccroche après s'être fait hurler dessus par cette dame devenue hystérique et s'adresse à son auditoire :
- Voilà enfin le niveau ultime de la colère.
Là-dessus, un étudiant lève la main :
- Monsieur, il y a pourtant un stade supérieur.
Et, pour illustrer, il se saisit du téléphone, compose encore une fois le même numéro et dit :
- Bonjour Madame, je suis Jacques. Y a-t-il eu des messages pour moi?

Place du Postel à Brioude deux amis discutent autour d'un café quand l'un demande à l'autre:
-Au fait dis moi, tu fumes ?
-Oui.
- Combien de paquets par jours ?
-4 paquets
- Le prix d'un paquet ?
-10€
-Et tu fumes depuis combien de temps ?
- 20 ans.
-Donc un paquet = 10€, tu en fumes 3 pars jours, donc environ 1000 par an, ce qui fait en en gros 10000€ par an, on est bien d'accord ?
-Oui.
- Si l'on ne prend pas en compte l'inflation et les changements des prix, ça fait 200 000€ en 20 ans.
-Oui..
- Donc en gros, si tu ne fumais pas et que tu avais mis tout ton argent sur un compte depuis ces 20 ans, tu aurais pu avoir une Ferrari aujourd'hui..
-Sûrement.. et toi tu fumes ?
-Bien sur que non !
- Alors elle est où ta putain de Ferrari ?!

 

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Deux  mecs se baladent sur le carreau de la mine à La Combelle .

 Au bout d'un moment ils aperçoivent un trou qui a l'air bien profond. Ils décident alors de lancer des cailloux dedans pour en évaluer la profondeur. Ils commencent par des petits cailloux. Aucun bruit ne se fait entendre. Ils passent à des gros cailloux. Même chose. Ils décident alors de se mettre en quête de quelque chose de carrément plus massif et trouvent une traverse de chemin de fer. Ils la prennent et la jettent dans le trou. Toujours pas de bruit. Soudain une chèvre arrive à toute allure et saute dans le trou. Les deux  mecs commencent à se demander s'ils n'ont pas été téléportés dans la quatrième dimension.

Arrive alors un paysan qui s'adresse à eux en ces termes :
-Vous n'auriez pas vu une chèvre dans le coin, par hasard ?
Un des deux mecs répond :
-Si. On vient d'en voir une arriver à tout berzingue et sauter dans ce trou.
-Alors c'est pas la mienne. Figurez-vous que je l'avais attachée à une traverse de chemin de fer.

Deux ouvriers sur un chantier à  Clermont Ferrand  prennent leur pause de midi, le premier fait : 
– Tu connais Victor Hugo ? 
– Non 
– T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir ! 
Le lendemain, toujours le même : 
– Tu connais Albert Einstein ? 
– Non 
– T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir ! 
Le surlendemain, ça recommence : 
– Tu connais Karl Marx ? 
– Non 
– T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir ! 

Encore le surlendemain

-Tu connais Blaise Pascal

-Non

-C'est la que je prend mes cours du soir tu devrais y aller
Alors l’autre tout énervé fait : 
Et toi, tu connais Jean Dupont ? 
– Non ? 
– T’as tort, c’est celui qui baise ta femme pendant que tu suis les cours du soir à Blaise Pascal  !

Un détenu de la prison de Riom sait que le courrier de la prison est contrôlé.

Nous sommes au milieu d'Avril et  Il reçoit une lettre de sa femme qui habite à la campagne aux environs de Maringues

- Mon chéri, je pense que tu ne seras pas libéré pour la plantation des pommes de terre.

Si tu me dis à quel moment il faut les planter, j'essaierai de me débrouiller pour le faire. bisous.

Le gars répond :

- Ma chérie, surtout ne touche pas au jardin en ce moment. J'y ai enfoui quelque chose à 20 cm de profondeur.

Quinze jours après, il reçoit une nouvelle lettre de sa femme :

- Mon chéri, des gendarmes sont venus avec une pelle mécanique. Ils ont retourné tout le jardin.

Puis-je faire quelque chose ? Bisous.

Le gars répond par retour du courrier :

- Maintenant, tu peux planter les patates !

Un automobiliste avec sa GS se fait prendre à la jumelle  sur la route entre vieille Brioude et la  Chomette par un agent de la BMO de Broiude . Ce dernier l’interpelle et lui constate son infraction :

- Savez-vous monsieur que vous avez dépassé la vitesse autorisée ?

- Oh vous savez, je ne l’ai pas dépassé de beaucoup monsieur le policier .

Sa femme assise à ses côtés lui dit :

- Mais enfin Raymond, tu étais bien au-dessus de la vitesse autorisée !

Le gendarme constate aussi à l’homme que son feu arrière ne fonctionne pas :

- Je ne savais pas monsieur l’agent, j’irai le faire réparer le plus rapidement possible.

Sa femme surenchérie et lui dit :

- Mais enfin ça fait au moins six mois tu l'as  cassé quand tu as reculé dans la BM au Postel  et que  tu t'est sauvé, et que tu ne veux pas le faire réparer !

Le gendarme devient méfiant et demande à l’homme son permis de conduire :

- Je suis désolé monsieur l’agent, je l’ai oublié chez moi…

Sa femme l’interrompt alors et lui dit :

- Ne dis pas n’importe quoi, tu n’as plus de permis depuis trois mois c'est la préfecture du Puy qu'il l'a.…

L’homme excédé perd ses nerfs et crie à sa femme :

- Mais tu vas te taire espèce de conasse !

Le gendarme surprit demande alors à la femme :

- Dis donc madame, il est toujours comme ça avec vous votre mari ?

- Oh non monsieur l’agent, ça c’est seulement quand il est bourré !

 

 

L'histoire s'est déroulée au cinéma Royal  à Brassac les mines il y a une trentaine d'année.

En plaçant des gens, alors que la séance est déjà commencée, l'ouvreuse Mme G... du cinéma aperçoit un gars couché de tout son long sur trois fauteuils. Il regarde l'écran en poussant de petits gloussements.

Très en colère  , elle éblouit le gars avec sa lampe et   l'enguirlande copieusement :

- Non, mais ça va pas ? Vous voulez aussi que j'aille vous chercher un oreiller, peut-être ? D'où venez-vous pour vous conduire de cette façon ?

Dans un grand soupir, le gars répond :

- Du balcon, mademoiselle !

Aux environs du Puy en Velay  une maison de retraite flambant neuve et ultra-moderne vient d'ouvrir ses portes.

Un samedi matin, une famille y amène la grand-mère très âgée. Une fois qu'elle est installée, son fils lui dit :

- Tu verras, tu seras bien ici. C'est la plus belle maison de retraite de toute la région Rhône Alpes Auvergne  . Et puis, on a amené tes photos préférées et on va les accrocher au mur. Tu seras comme chez toi. Maintenant, on te laisse, nous reviendrons ce soir pour  voir comment tu te sens.

La famille s'en va, puis un médecin et une infirmière viennent examiner la vieille dame.

Soudain, la mamie penche très fort du côté droit. L'infirmière la redresse. Un peu plus tard, elle penche très fort du côté gauche. Le médecin la redresse. Constatant que toutes les vingt minutes la mamie penche à droite, à gauche, vers l'avant ou vers l'arrière, le médecin demande aux filles de salle de se relayer au chevet de la grand-mère, afin d'éviter tout accident!

Le soir la famille revient voir l'aïeule.

- Alors, mémé, comment trouves-tu cette maison de retraite ?

- Bof, couçi-couça!

- Comment ça couci-couça ? La chambre ne te plaît pas?

- Si,si, la chambre est très belle.

- La nourriture n'est pas bonne ?

- Si, si, c'est très bon .

- Le personnel n'est pas sympathique ?

- Si, si, ils sont tous très gentils. Mais il n'y en a aucun qui me laisse péter comme je veux!

Le curé de Blesle se rend au petit  village très reculé de Lévaux  rend visite à la dernière habitante du hameau.

- Alors, ma bonne Henriette, j'ai appris qu'on avait enfin installé l'électricité dans ta maison ? T'en es contente ?

- Pour sûr! C'est bien pratique quand la bougie s'éteint!

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Quatre vieilles dames un peu bigotes sont  assises sur un banc au Parc Henri Vinay et parlent de leurs fils respectifs.

- Mon fils, dit la première, est prêtre. Tout le monde l'appelle "Mon Père" !

-Mais le mien, dit la seconde, est évêque. Quand les gens s'adressent à lui, ils lui donnent du "Monseigneur" !

- Allons, allons, proteste la troisième. Mon fils à moi, est cardinal. On lui dit " Votre Eminence" !

La quatrième dame ne dit mot. Elle déguste son café. Alors ses trois "copines" n'en peuvent plus.

Elles demandent en chœur :

- Et vous, ma chère. Comment s'adresse-t-on à votre fils ?

- Oh, mon fils ? C'est très simple, il est strip-teaseur dans une boîte de nuit. Il mesure 1,90 mètre, et quand il finit son numéro, tout le monde s'écrie "oh, mon Dieu"

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Au Puy en Velay place du Breuil , un marchand de journaux nouvellement installé  s'écrie :"Incroyable escroquerie : déjà 90 victimes!"

Intrigué, un passant achète un journal. En s'éloignant, le marchand de journaux se met alors à crier :

"Incroyable escroquerie : déjà 91 victimes!"

 

Raymond de Pinols  se rend à Langeac  aux impôts pour se plaindre d'avoir reçu une facture de redevance télé.

 Il déclare ne pas avoir de téléviseur à la maison et de plus à Viallevieille la télé ne passe pas . . L'employée lui répond :

- Peut-être, monsieur, mais nous savons que vous possédez un Smartphone et une tablette. Ce sont des outils qui peuvent vous permettre de capter  des images, d'où la redevance télé à payer!

- Très bien, répond le gars. Dans ce cas, j'exige qu'on me verse des allocations familiales et que l'on me rajoute des parts supplémentaires!

- Et pour quelle raison, monsieur ? Vous n'avez pas d'enfant à notre connaissance.

- Parce que j'ai entre les jambes des outils qui peuvent me permettre d'en avoir!

C'est une grand-mère Jacqueline qui habite au 4ème étage d'un immeuble non loin de Jaude dans un quartier qui est devenu chic alors que Jacqueline avec son Roger  a toujours vécu ici.

 

 Alors qu'elle descend par l'ascendeur, celui-ci s'arrête au 3ème et une jolie blonde entre en dégageant une superbe odeur. Elle dit simplement:

- "Eternity", 61€ la bouteille chez Marionaud

L'ascenseur continue de descendre et s'arrête soudainement au 2ème. Une belle brune entre en dégageant une odeur sublime. Elle dit simplement:

- "Si Intense", 115€ la bouteille  Chez Sephora

La vieille ne dit rien malgré la lourdeur de ces femmes vantardes. L'ascenseur repart et s'arrête brusquement au 1er. Une magnifique rousse entre en dégageant une odeur tout bonnement divine. Elle dit simplement:

- "Chanel N°5", 140€ la bouteille  Chez Nocibé

La grand-mère commence à en avoir assez du comportement de ces filles. Elle attend d'être au rez-de-chaussée et avant de sortir, elle lâche un bon gros pet dont l'immonde odeur se répand vite dans la cage d'ascenseur. Puis elle dit tout simplement:

- "Flageolets", 3€ la boîte. A Super U

C'est un Lyonnais  qui veut acheter une maison dans le Mézenc à côté d'un pré de vaches. Le propriétaire de la Haute Loire, à la fin de la visite, lui demande:

- Cela vous convient-il ?

Le lyonnais  répond:

- Oui, mais je suis embêté par la ruche. J'ai des enfants vous savez.

Alors le propriétaire  lui affirme:

- Personne n'a jamais été piqué par une de mes abeilles. D'ailleurs on va faire un test. Je vais vous accrocher tout nu à l'arbre. Si une seule de mes abeilles vous pique, j'enlève la ruche et je vous donne la maison.

Le Lyonnais  est téméraire et relève le défi. Plus tard, l'altiligérien revient et trouve l'homme.

Il lui demande:

- C'est quand même pas mes abeilles qui vous ont piqués ?!

Et l'homme visiblement épuisé  répond:

- Non pas du tout. Mais le veau, ça fait combien de temps qu'il a plus sa maman ? 

Lors d'une interview au journal Lamontagne  à un habitant d'un village aux environs d'Ardes
– Quel est le secret de votre longue vie ?
– Ben j’chais pas moi p’tit gars.
– La nourriture ?
– La bouffe? Beaucoup de légumes et pas de graisse!
– Et côté femmes ?
– J’ai toujours eu une seule femme dans ma vie. Malheureusement, elle est morte y a 20 ans..
– Les cigarettes ?
– Jamais une cigarette
– L’alcool ? Etes vous sobre ?
– Ah ça, jamais touché. Pas une goutte de ma vie !
– Voila donc votre secret: Une hygiène de vie irréprochable. Je vais de ce pas rédiger ma chronique.
À ce moment, un grand bruit de meubles bousculés dans la cuisine.
– Vous inquiétez pas, dit le centenaire, c’est papa qui rentre de son gueuleton des anciens qui a eu lieu à Saint Germain  encore bourré comme d'habitude .

Sur le plateau de Costaros un type se tient debout sur le bord de la route au milieu d'une très sombre nuit en faisant du stop.

En même temps une terrible tempête se déchaîne. Quelque temps plus tard personne ne s'est arrêté. La tempête et l'orage sont si forts qu'il est impossible de voir plus loin que 3 mètres devant soi. Tout à coup il voit une voiture qui s'approche lentement et qui s'arrête.
Le gars sans se poser de questions monte dans la voiture et ferme la porte, lorsqu'il se retourne il se rend compte qu'il n'y a personne à la place du conducteur.
La voiture démarre doucement, il voit que sur la route il y a un virage en approche, effrayé, il commence à prier. Le gars n'a pas fini d'être  étonné lorsque juste avant d'arriver sur le virage, la porte du conducteur s'entre-ouvre et une main entre pour faire tourner le volant dans le virage.
Paralysé par sa peur il s'accroche avec toutes ses forces à son siège. Il reste immobile et voit que la même chose arrive à chaque fois qu'il y a un virage sur la route.
La tempête augmente en force, et le gars qui a sorti des forces de là où il n'en reste pas, descend de la voiture et part en courant jusqu'au village , entre dans au  bar du Marché, demande deux Verveine  doubles et en tremblant commence à raconter à tous ce qui lui est arrivé.

 Environ une demi-heure plus tard arrivent deux gars ,qui ont laissé leur  voiture au garage du village , complètement trempés, l'air exténués et l'un dit à l'autre :
- Regarde là-bas, c'est le connard qui est monté dans la voiture pendant qu'on la poussait !

Chasse aux Ratons

 

 

Chasse aux ratons laveurs

Suite aux attaques répétées de ratons laveurs  contre les poulaillers dans le village d'Auzon en Haute Loire  , une réunion entre villageois possesseurs de basse coure, représentant local des chasseurs et un jeune écologiste a eu lieu.
 Aux propriétaires de poules et autres volailles   qui réclamaient l’organisation de battues destinées à tuer le maximum de  ratons Laveurs  pour en contrôler la population, l'écologiste a présenté une alternative.
 La solution « plus humaine » préconisée par le représentant des  Verts était celle-ci:
« Capturons les ratons laveurs   vivants, faisons une vasectomie aux mâles puis relâchons les. Ainsi, ceux ci   opérés garderont leur instinct de mâles, il feront comme d’habitude leurs saillies sur les femelles, mais par contre, les femelles ne seront plus fécondées, c’est de cette manière que la population sera le mieux contrôlée. »
  Lorsque le représentant des écolos eut terminé son exposé, les habitants   prirent quelques secondes pour réfléchir à la proposition, puis un vieux fermier qui avait fait le déplacement du village voisin , se leva d’un bond, prit son chapeau et le claqua par terre en s’adressant au représentant des Verts:
« Écoute gamin, je crois que t’as pas bien saisi le problème: les ratons laveurs  , ils ne baisent pas nos poules … ils les bouffent ! »

Blagues Auvergnates Tome1

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M
Elles sont bien bonnes!
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