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Manufacture de tresses et Lacets à La Forie

Une usine de lacets à la Forie

 

La société était présente à l'exposition universelle de 1855 et voici ce qu'on en disait

LACETS. MM. Berne, de la Forie, près d’Ambert, ont envoyé des lacets, des liens, des ganses, des cordonnets de toutes nuances, adaptés à toutes les exigences de la mode. Tous leurs produits sont vendus à Paris et retenus d’avance pour plusieurs années, indice certain de bonne qualité. Ces exposants se distinguent de leurs confrères, en fabriquant eux-mêmes leurs métiers , en teignant eux-mêmes leurs cotons. On peut évaluera 250,000 fr, la valeur commerciale des lacets provenant des ateliers de MM. Berne , ainsi que de ceux de MM. Bernard (François) et Desbordeaux. RUBANS DE FIL ET DE LAINE.

 

Texte issue du lien ci-dessous

Manufacture de tresses et Lacets à La Forie
Manufacture de tresses et Lacets à La Forie
Manufacture de tresses et Lacets à La Forie
Manufacture de tresses et Lacets à La Forie
Manufacture de tresses et Lacets à La Forie
Ils en parlaient

C’est aussi dans des usines qu’on ouvre ganses, lacets et rubans, à Ambert et La Forie. Le travail de la soie, introduit au milieu du xix e siècle sous l’influence de Lyon et Saint-Etienne, est pratiqué sous forme de moulinage à Ambert et à Marsac. Le tulle, outre le personnel quhl occupe en usine à Ambert, emploie des ouvriers à domicile en vue du pailletage. Enfin, Ambert possède une petite usine de confection. Au total, le textile doit avoir au minimum un effectif de 1.500 personnes, en grande majorité des femmes, et dont une faible partie seulement travaille à domicile. Avec le textile, d’origine très ancienne, la principale activité est la fabrication des objets religieux, principalement des chapelets, de date récente. Les états mensuels fournis régulièrement par la Sous-Préfecture d’Ambert sous le second Empire la signalent pour la première fois, en mai 1869, avec la mention : « Industrie nouvellement établie ; commence à se montrer. » Il semble que le premier fabricant, qui avait commencé par être colporteur, ait rapporté de ses tournées l’idée de son initiative, de même qu’il dut y apprendre qu’on pouvait faire des « perles » avec de la sciure de bois, matière fort abondante dans la région d’Ambert.

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