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Saint Quentin fait partie de la commune de Chaspinhac
Chaspinhac est une petite commune du centre de la France, située dans le département de la Haute-Loire et de la région Auvergne Rhône-Alpes.
Elle fait partie de la Communauté d'agglomération "du Puy-en-Velay".
Les habitants et habitantes de la commune de Chaspinhac sont appelés les Chaspinhacois et les Chaspinhacoises.
Les 709 habitants du village de Chaspinhac vivent sur une superficie totale de 16 km2 avec une densité de 44 habitants par km2 et une moyenne d’altitude de 900 m.
Eglise de Saint-Quentin-Chaspinhac
Monuments historiques classement par arrêté du 22 octobre 1969
Description :
Eglise remarquable par la solidité de la construction et la pureté des lignes la construction remontant au XIIe siècle.
La nef assez haute est divisée en deux travées ; deux chapelles construites postérieurement occupent la place ordinaire du transept.
La voûte en berceau plein cintre a des piédroits en forme de demi-colonnes dont les chapiteaux sont décorés de feuillages.
Des arcs latéraux en tiers point montent jusqu'à l'imposte de la voute.
Un mouvement de construction s'est produit à l'abside, dont le cul de four descend à un niveau inférieur à celui de l'arc triomphal.
Une fenêtre au Sud de l'abside a été agrandie ou percée après coup. Une autre construction primitive, à large ébrasement, s'ouvre au fond du sanctuaire, elle est entourée extérieurement d'une archivolte formée d'un tore placé entre deux bandeaux, l'un vertical, l'autre horizontal, et reposant sur de jolies colonnettes avec des chapiteaux à feuillages . Cette abside, circulaire intérieurement et extérieurement, est épaulée par des contreforts assez épais, l'appareil en tuf volcanique rouge est superbe, les joints sont très fins, une fenêtre par travée éclaire la nef.
La façade et la porte principale ont subi des remaniements : le pignon a été surélevé, et le campanile transformé en clocher carré au XVII siècle et foudroyé en 1943. Une jolie fenêtre, à claveaux alternativement rouges et blancs, est restée intacte.
Une seconde porte, de plus petites dimensions, s'ouvre dans le mur méridional, elle semble romane, mais est dépourvue d'ornement.
Un cordon de profil rectiligne entoure les contreforts. L église n'a pas de corniche.
Un enfeu se remarque à l'Ouest, prés de la porte d'entrée.
Monument aux morts
Saint Quentin
Que représente le site de Saint Quentin : un lieu de promenade qui nous permet de découvrir un village en ruines, perché au-dessus de la Loire, un panorama splendide sur le bassin du Puy et les montagnes alentours.
Saint-Quentin possède également un passé chargé de mystères et d'un souterrain pouvant le relier, sous la Loire, au château de Polignac, et surtout un passé historique riche en événements.
Dès le Moyen-Âge, Saint-Quentin est une seigneurie avec son église qui dépend de l'abbaye de Tournus en Saône-et-Loire et son château dont la première mention date de 1154 lors d'un hommage de Pons, vicomte de Polignac à l'évêque du Puy ; Plus tard, le château fait l'objet de querelles entre le vicomte et un autre évêque du Puy qui prennent fin grâce à l'intervention du roi Louis VII en faveur de l'évêque.
Les premiers seigneurs sont les membres de la famille de Saint-Quentin dont nous connaissons quelques personnages : Armand, cité en 1115, puis Guillaume et Raymond, mentionnés en 1138 dans une donation de terres pour l'édification de l'abbaye de Doue. Ils bénéficiaient d'une autorité absolue sur la Loire depuis le pont de Brives jusqu'au lieu appelé Gas Francez, près de Lavoûte-sur-Loire, mais eurent quelques discordances avec celle-ci au sujet du droit de pêche.
Sous l'ancien régime, le plateau de Chaspinhac est divisé en deux paroisses, celle de Chaspinhac et celle de Saint-Quentin qui comprend les hameaux de Brouilhac, Chassaure, Brestilhac, Le Pouzat, Les Las et Peyredeyre. Après la révolution, Saint-Quentin devient commune puis est attachée en 1866 à la commune de Chaspinhac.
Les vieilles pierres et les herbes folles gardent le souvenir de tant d'histoires.
Fontaine,bac et four et autres