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La commune de Jullianges est située dans le département de la Haute-Loire (43).
Entourée par les communes de Saint-Victor-sur-Arlanc, Beaune-sur-Arzon et Craponne-sur-Arzon, Jullianges est situé à 19 km au nord-ouest de Saint-Paulien la plus grande ville à proximité.
Située à 938 mètres d'altitude, la Rivière l'Arzon, la Rivière la Dorette sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune de Jullianges.
lLes 455 habitants se nomment Julliangeois, Julliangeoises.
Eléments protégés :
Eglise : classement par arrêté du 5 novembre 1931
Historique :
Jullianges dépendait de l'abbaye de la Chaise-Dieu qui fit construire l'église au début du XVe siècle. L'édifice comprend une nef de trois travées, précédée d'un clocher élevé sur la façade occidentale et terminée par un choeur pentagonal. Deux chapelles latérales flanquent la nef et datent de la même époque. L'édifice est entièrement recouvert de voûtes d'arêtes dont les clés sont armoriées. Cette église n'a subi aucune retouche depuis sa construction.
Périodes de construction :
15e siècle
Il était une fois Jullianges - L'Auvergne Vue par Papou Poustache
Jullianges autrefois Petit voyage au siècle dernier dans le village de Jullianges en Haute Loire
https://www.cpauvergne.com/2022/12/il-etait-une-fois-jullianges.html
Dans un petit hameau de la commune de Jullianges près du Puy en Haute-Loire, un drame s’est joué en quelques heures et a fait d'uni cultivateur de 53 ans le meurtrier de sa femme et huit orphelins. Tout devait débuter samedi soir vers 20 h. 30. A leur retour de l’école ou du travail, six des huits enfants des époux Demas se heurtaient aux portes solidement verrouillées de l’exploitation familiale. Burent-ils une conversation avec leur père, ou bien comprirent-ils qu’un drame se jouait derrière les murs de la bâtisse ? leur mere ne répondant pas à leur appel et leur jeune sœur âgée de quatre ans étant introuvable, deux des enfants se rendaient à la gendarmerie de Craponne. L’adjudant Bresson commandant de la brigade allait sur les lieux avec les gendarmes. Les appels à la raison n’ayant reçu aucune réponse, une lente progression commençait. Et les policiers munis de gilets pare- balles, s'abritant derrière des boucliers, après être parvenus à forcer la porte de la cuisine, pénétraient dans la pièce. Ils y découvraient le cadavre de Clovis Demas, défiguré par une décharge de fusil de chasse, ils y découvraient aussi deux autres armes et un véritable stock de munitions : des chevrotines et autres cartouches. Tandis que l’on procédait aux premières constatations, des recherches étaient entreprises dans l’exploitation pour retrouver Mme Demas et sa fillette; la première fut découverte dans une bergerie attenante, elle avait été abattue d’un coup de fusil. Sa mort remontait à deux heures. Quant à la petite fille, Demas, dans sa folie meurtrière, avait sans doute eu un dernier instant de lucidité car il l'avait éloignée et enfermée dans sa voiture. A 3 h. 30 du matin le drame était consommé. La première question qui est venue à l'esprit après cette tragédie a été celle de savoir ce qui avait pu déclencher cette crise de folie. Clovis Demas était certes un violent... un éthylique qui avait subi un traitement mais chez lequel subsistaient des séquelles profondes de la maladie, notamment un certain déséquilibre mental qui faisait de lui un homme obsédé, sans raison, par une jalousie morbide à l'égard de son épouse, et puis, il faut bien le dire, il y avait eu... Ces- tas. Clovis Demas durant toute cette triste affaire, en avait suiv, heure par heure, les péripéties et le déroulement, soit à son transistor, soit dans les journaux. Depuis la fin de Fourquet, il s’enfermait dans des silences terribles, lisant et relisant sans cesse des articles de revues retraçant cette tragédie.
Combat : organe du Mouvement de libération française
Combat : organe du Mouvement de libération française -- 1969-02-25 -- fascicules
1937-01-07
Jollianges (Haute-Loire), a été trouvée morte dans son lit, étouffée par son édredon. Quoique rien n’ait été volé, on présume qu’il s'agit d’un crime.