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Usines de vètements Conchon Quinette

Voici une usine qui avait marqué le bassin avant Ducellier mais aussi d'autres villes d'Auvergne(Thiers et Clermont Ferrand).

De nombreuses femmes de notre bassin y ont travaillé.

C'était une entreprise florissante qui avait de nombreux magasins dans toute la France appelé Conchon Quinette puis Corvett.

Photos de Conchon Quinette Ste Florine offerte par Patrick

Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette

Sortie d'usine a Brassac

 

 

 

Sortie d'usine Conchon Quinette à Ste Florine

 

 

Usine Conchon Quinette à Brassac les Mines(63)

 

 

 

Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
 

 

 

  • Conchon Quinette

Une entreprise qui avant Ducellier employait de la main d'oeuvre féminine dans plusieurs villes d'Auvergne dont Ste Florine,Brassac et La Combelle.

Le siège étant à Clermont -Ferrand.

L'article ci dessous a été réalisé grace aux extraits d'articles récupérés sur le net sur lequel vous trouverez les liens pour lire l'intégralité.

Les photos proviennent de collections privés et d'images du net

 

Clermont-Ferrand - Enseignes d'antan : l'épopée des Conchon-Quinette
 

Comment une modeste affaire de confection à domicile est devenue la plus importante usine de vêtements du Centre de la France.

Pierre Gabriel Gonzalez pgg@wanadoo.fr

Tout d'abord, penchons-nous sur les origines généalogiques de cette famille. Nous la situons vers 1650 à Volvic où un dénommé Benoît Conchon, maître voiturier, lègue l'entreprise de messagerie à ses deux fils qui en poursuivent l'exploitation. Pendant les deux siècles suivants, la famille Conchon au sens large compte aussi à Riom des notaires royaux, des médecins, des juges et des avocats. C'est un prénommé Jean, descendant de la branche installée à Volvic, qui franchit le pas au début du XIXe siècle et vient s'installer à Clermont comme maître boulanger au 27 de la rue de l'Écu (avenue des États-Unis, aujourd'hui). Le cadet de ses fils, Jean-Philibert, d'abord apprenti-serrurier rue des Chaussetiers, épouse Eugénie Quinette, originaire de Normandie, dont les parents exploitent un commerce de vêtements et notamment de limousines, sortes de grandes capes protectrices chères à nos bergers. En 1844, nous retrouvons le jeune couple qui s'identifie pour la première fois sous le nom de Conchon-Quinette à la tête d'un commerce de vêtements et de rouennerie (toile de coton tissée à Rouen) qui se situait rue Blatin, à l'emplacement de l'actuelle Caisse d'assurances maladie. A cette époque, les maisons de commerce ne disposaient pas d'ateliers de fabrication. Les commandes étaient exécutées entièrement à la main par des couturières à domicile. D'invention récente, les machines à coudre coûtaient encore une petite fortune et restaient donc hors de portée des budgets modestes.

Pendant la guerre de 1870, les affaires prenaient une tournure nouvelle avec l'ouverture d'un véritable atelier à la suite à une demande importante d'uniformes destinées à équiper les gardes mobiles. Rappelons en quelques mots comment est né ce corps d'armée dans le cadre de la conscription par tirage au sort. Les jeunes gens qui avaient tiré les « bons » numéros étaient incorporés dans l'armée active pour sept ans de service (!). Les autres jeunes gens, bien que reconnus aptes à servir, allaient rejoindre la Garde mobile. Les « Mobiles » ou « Moblots » comme on les appelait parfois, étaient équipés par l'administration civile de chaque préfecture. Pour leurs uniformes, leur ville fournissait le drap et chacun devait passer commande de la coupe chez son tailleur. Ce nouveau marché marqua les débuts de l'expansion de l'entreprise Conchon-Quinette. Nous la retrouverons dimanche prochain avec le personnage haut en couleur que fut Hippolyte Conchon-Quinette.

Lien du texte ci-dessus

Un projet d’aménagement urbain méconnu (Clermont-Ferrand, 1944)

 En 1944, l’esprit est à la reconstruction. Si le bâti de Clermont-Ferrand n’a pas été trop affecté par la guerre (des bombardements ont visé les usines Michelin de Montferrand), la municipalité hérite à cette date de la fortune d’Hippolyte Conchon-Quinette, un de ses riches administrés, à la condition expresse de reconstruire l’hôtel de ville à l’emplacement le plus adéquat.
L’hôtel de ville avait été construit entre 1828 et 1847 sur les plans de Louis-Charles-François Ledru, architecte de la ville. À l’époque le programme de l’édifice était triple : la partie sur la rue était bien dévolue à l’hôtel de ville et à l’arrière se trouvaient le tribunal puis la maison d’arrêt. Le site était celui notamment du château des comtes puis de la Cour des aides (un des lieux où était rendue la justice sous l’Ancien Régime). Concernant l’édifice lui-même, dans un rapport de 1944 émanant de la municipalité et précédant l’acceptation du legs Conchon-Quinette, on peut lire : « nous ne pouvons pas dire que le legs de M. Conchon aille au-devant de nos désirs ». Pourtant en 1925 un projet de surélévation indique déjà un défaut de place, état des lieux confirmé par un projet de l’architecte de la ville de 1933 qui prévoit une reconstruction complète de l’hôtel de ville (fig. 1).
Fig. 1 : Projet de construction d’un hôtel de ville, 17 mai 1933, par Marcel Depailler, architecte de la ville.
Archives municipales de Clermont-Ferrand, 1 M 1-61, 6bis.
Périn, Jean-Michel, 2011 © Région Auvergne - Inventaire général, ADAGP.
Un projet d’aménagement urbain méconnu (Clermont-Ferrand, 1944)
Bénédicte Renaud
b.renaud@cr-auvergne.fr
© Région Auvergne - Inventaire général
Décembre 2011

Lien du texte

 

 

Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
QUELQUES DOCUMENTS
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Usines de vètements Conchon Quinette
Archives départementales

 

Hippolyte Conchon-Quinette (Clermont-Ferrand, 11 novembre 1857-22 décembre 1942) a 23 ans lorsqu’il succède à son père à la tête de la petite mais prospère entreprise familiale de confection de vêtements. Le jeune homme, qui s’avère rapidement un homme d’affaires avisé, donne aux établissements Conchon-Quinette l’envergure des grandes entreprises clermontoises. Une première étape est franchie en 1896 avec l’ouverture d’un grand atelier de confection, entièrement électrisé et doté d’une des premières lignes téléphoniques de la ville. Jusqu’en 1967, date de leur destruction, le site de production clermontois a marqué ostensiblement l’angle de la rue Bonnabaud et du boulevard Pasteur…

https://www.archivesdepartementales.puy-de-dome.fr/n/la-collection-printemps-ete-conchon-quinette-est-arrivee/n:421

Directement du producteur au consommateur »

Ce slogan est fréquemment employé par Hippolyte Conchon-Quinette. L’anecdote est rapportée par Géorges Bérard, un proche collaborateur et son homme de confiance, dans une allocution prononcée au Rotary-Club de Chamalières en 1976 (7 J 444).

En 1902, Hippolyte Conchon-Quinette fait évoluer l’entreprise familiale en société en commandite par actions : les apports de capitaux, régulièrement sollicités par la suite, lui permettent à la fois d’ouvrir une seconde usine à Brassac (une troisième suivra à Thiers en 1923) et de développer la vente au détail, en ouvrant des magasins. Il renforce ainsi le système de commercialisation, jusqu’alors assuré par des représentants commerciaux sillonnant le département avec des bus ambulants. Maîtrisant la chaîne de bout en bout, de la production des lainages à leur confection et leur vente, le modèle Conchon-Quinette est en place à la veille de 1914-1918 et survit à la disparition du « grand patron » le 11 décembre 1942. Dans l’entre-deux-guerres, les usines emploient près de 1800 salariés (dont un millier à Clermont-Ferrand) et, par un jeu d’alliances et de rachats, l’entreprise s’exporte hors d’Auvergne (elle sous-traite une partie de la fabrication de lainages à Tourcoing ou à Vienne, ouvre des succursales à Paris et à Lyon, et compte jusqu’à 200 magasins en France), poursuit la modernisation des ateliers avec la mise en place du travail à la chaîne par convoyeur, et enfin… expérimente les conflits sociaux !

En 1949, la Société Conchon-Quinette scinde son activité en créant une antenne pour la production (la SIVC : Société Industrielle des Vêtements du Centre, gérant les différents ateliers) et une antenne commerciale (Conchon-Quinette Covett). Les deux fonctionneront parallèlement jusque dans les années 1970 (fermeture et/ou rachat des ateliers après 1967, puis progressivement des magasins).

Vos commentaires

Josiane Chamoux
Ma maman a travaillé à celui de Clermont Ferrand
Virginie Mazel
Josiane Chamoux la mienne aussi et elle en est encore très fière.
Jean Bonjean
Ma soeur a travaillé a celui de Thiers .
 
Sonia Sannajust
Jean Bonjean il y avait aussi le magasin au centre ville
 
Edith Marchand
Magasin Covett en haut de la rue des Gras à Clermont, avec les vêtements de travail et les vêtements chic pour les cérémonies.
Je rêvais d’être grande pour pouvoir m’y habiller, malheureusement il a fermé entre temps 😢

Nicole Laguillon

Merci pour la mémoire et les compétences de l’Auvergne
Gaby Ferrier
A Massiac...que de souvenirs !! Nostalgie !!
Marie Christine Berrada
Magasin conchon quinette à Brioude..C’etait une référence dans ma jeunesse.
Aline Atelier
Ces des vêtements de belle tenue, rien a voir avec la pacotille avec laquelle on s habille
Josette Besson
Aline Atelier Ces vêtements tenaient la route ! Au moins !
Annie Alran
Moi je me souviens de celui d'Aurillac sur le square.
Berthe Cohard
J’ai fait mon apprentissage à l’usine de Clermont -Ferrand
Paule Martin
Ma grand mère paternelle travail a faire des blouses de travail à domicile pour cette entreprise à Clermont Ferrand
Marie Fagant
Brioude aussi il
il y avait un magasin
Ghislaine Valette Bravant
Mes parents s'habillaient à Conchon Quinette pour les grandes occasions (costume etc..).

Arlette Plantiveau

Issoire..mes vêtements"du dimanche"étaient achetés dans ce magasin....
Laurette Rigoulet
Ma Maman y a travaillé, à Ste Florine

 

Beedame Jocelyne Petitpierre
Billom avait un magasin Co'nchon Quinette : on y confectionnait nos manteaux , nos blazers et nos jupes plissées. Il y avait une couturière , on choisissait les tissus et un patron
Francoise My
Conchon Quintette rue de Paris a Vichy ,!!!!

Roseline Roux

Je savais qu'il y avait la fabrique de vêtements conchon .quinette.... mais je je ne connaissais pas du tout l histoire.. j'ai beaucoup apprécié.merci .
Claude Vincent
magasin a GANNAT
Annie Levadoux
Claude Vincent ma Maman y avait travaillé.
Daniel Delrieux
Toute une époque !!! Bien révolue ...sacré PAPOU
Sylviane Teulet
Oh la la ! Je me souviens de celui d Aurillac
Mijo Horvath
Je me souviens au Puy, il y avait un magasin boulevard st louis il me semble
Martine Buronfosse
J'avais un ensemble acheté chez Conchon Quinette à Brives, il y a 60 ans !
Denise Dalamiot
j habitais aux Salins a cotè de l usine
Josette Pahl
A st eloy les mines il y avait un magasin Conchon quinette
Alain Mourgues
Celui de st flour ma grand-mère y allez
Jacqueline Dumas
Conchon Quinette à Mauriac...

Jean Yves Perrier

Il y avait nettement moins de porte cotenner qui faisaient les navettes entre l Europe et la Chine, aussi..

Lucienne Péan Allirand

ma mère m'avait acheté ma robe de communiante chez eux à St Chamond !!!!!

Evelyne Lheritier

Ma maman y avait travaillé elle faisait des pantalons hommes.
Suzanne Combry Gerey Beylot
A Saint-Chamond, il y avait aussi un magasin, il me semble.
Nathalie Bontemps
Que de souvenirs mon père a travaillé chez Ducellier
Suzanne Roux
Conchon Quinette rue des gras
Josèphe Gorge
je m'en souviens!
Mijo Horvath
Oui, bd st Louis je crois
Isabelle Muscat
Ma Maman a travailler a celui de Clermont-Ferrand.
Micky Robert
Il me semble qu' il y en avait un AU Puy.
Françoise Marion
Ma grand mère y travaillait l'usine était aux salins à la place de speedy et il y avait une boutique de ventre rue du 11 novembre. A brassac il y avait également un centre de production.
Sonia Sannajust
A Thiers aussi il y avait une usine Conchon Quinette rue de la gare . J y ai travaillé quelques mois avant qu il déménage en Saône et Loire . On travaillait pour l armée je piquais les plastrons des vestes .
Anne-Marie Jorge Pralong-Valour
Langeac aussi je crois
Dany Desmoulieres
Oui connu , c est vieux
Christian Adrian
Mon costume pour ma communion rue jules Guesde a Montferrand.
 
Yves Joalhe
Sigrand covett 👍
 
Maguy Curt
Yves Joalhe à Marseille c’était Sigrand Covett!
 
Yves Joalhe
Maguy Curt oui il avait des magasins dans plusieurs départements notamment en Auvergne à Riom 63 rue du commerce
Monique Donadello Martineau
ma soeur y a travaillé comme tailleur homme,à clermont-ferrand.
Jean-pierre Chevalier
Ma maman y a travaillé
Sylvette Cazeaux
Ma maman y a travaillé
Bé Frau
ah ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii mes parents en parler régulièrement.....
Rose Eva Roux
ah! c'est vieux çà

Corvett ou Covett? Je me souviens du magasin d'Issoire à l'angle de la rue Chataudun et la place de la république.

Béatrice Pagis
Ma maman m'habillait, petite dans le magasin d'aurillac, c'était de la qualité contrairement à ce qu'on trouve aujourd'hui
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J
Mon père, décédé aujourd'hui, a grandi à Issoire à la fin des années 1930. Même âgé, il fredonnait encore un disque de réclame qui tournait chez lui à l'époque: "Avec les vêtements Conchon-Quinette, habillez-vous à prix honnêtes...etc". Je n'ai plus la suite en mémoire. avez-vous connaissance de cet enregistrement?
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A
A Perpignan il existait aussi un magasin Conchon-Quinette jusqu en 1960 environ
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G
à Bordeaux aussi en Centre ville !
J
Ayant habité Rimognes dans les Ardennes, enfant dans les années 50, mes parents m'emmenaient à Charleville par le car,pour acheter des vêtements, chez conchon-quinette, un grand magasin, et à 75 ans, mes souvenirs sont intacts de tout ce que je voyais dans celui-ci.
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G
Bonjour,<br /> Entre 1955 et 1958, Conchon-Quinette a distribué, à ses clients ou ses employés (pour des noël par exemple) une voiture DS bleu clair miniature. Je suis à la recherche de ce jouet, si des personnes ont quelques renseignements, je suis preneur de toute information.<br /> Cordialement, Christophe
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K
Ma tante y travaillé aussi, j ai presque la meme photo. Faut que je la recherche
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P
Bonjour,<br /> Je suis preneur