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La Dictature j'en ai souffert .................... La Démocratie, je la savoure

GERARD BRETIERE

 

La sortie du livre "La dictature j'en ai souffert...........La démocratie je la savoure" paru à compte d'auteur est l'occasion pour moi de vous parler de Gérard Bretière ingénieur forestier et animateur de nature  résident dans le Velay et  rencontré à un salon à Yssingeaux.

 

BIBLIOGRAPHIE DE L’AUTEUR

 

GERARD BRETIERE

 

Sensible au charme de la vieille ville du Puy-en-Velay, il avait, pour premier livre, élaboré en 2012 un guide touristique du « Puy intra-muros » : Balades dans les vieilles rues du Puy-en-Velay.

Ingénieur Forestier et Animateur Nature à la retraite, il a rédigé, en 2013, un livre scientifique, pédagogique et ludique, accessible à tout public, traitant des arbres, agrémenté de plus de 800 photos, prises par lui-même : Arbres et arbustes au fil des saisons. Comment les reconnaître ?

Passionné par la ruralité, il est l’auteur d’un roman historique et de terroir relatant la vie des cultivateurs dans le Velay, de 1870 à la première guerre mondiale, paru en 2021, avec, pour fil conducteur l’obligation de revanche contre les Allemands inculquée aux jeunes nés après la défaite de Sedan : De cultivateur à poilu, la Revanche à tout prix.

Se remémorant les voyages qu’il a effectués dans les années 1970, il emmène ses lecteurs, dans son dernier livre écrit en 2023 : La Dictature…J’en ai souffert, La Démocratie, je la savoure, sur les routes d’Afrique du Nord, d’Europe, d’Anatolie ou encore d’Israël, en les imprégnant de l’atmosphère de cette époque.

Gérard BRETIERE revient avec son nouveau livre La dictature, j’en ai souffert … La démocratie, je la savoure.

Son livre remercie tous les gens au grand cœur qu’il a pu rencontrer à travers un carnet de voyage humaniste.

La Dictature…J’en ai souffert

La Démocratie, je la savoure

GERARD BRETIERE

Y-avait-il un lien entre le contexte de son enfance et les destinations de ses voyages effectués à l’âge adulte ?

Avait-il été préparé inconsciemment à se confronter lui-même au totalitarisme ?

Ne devait-il pas, à travers toute une série d’épreuves, accomplir son parcours initiatique ?

C’est la réflexion menée par Gérard BRETIERE dans ce livre en se référant tour à tour à sa jeunesse et son carnet de voyages des années 1970 et 1980.

Ses parents, père maquisard dans le Vercors et mère participant à des tâches liées à la Résistance, comme les immigrés de son village ayant fui leurs dictatures respectives, notamment Espagnols et Portugais, l’avaient sensibilisé au même vocabulaire : fascisme, totalitarisme, dictature, avec, en toile de fond, la valeur inestimable de la liberté.

Lors de ses voyages, que ce soit dans les dictatures ibériques ou celles du bloc de l’Est, il connut, lui aussi, les désagréments du totalitarisme avec l’impression de passer de la théorie à la pratique. Il y retrouva tous les ingrédients du totalitarisme qui avaient alimenté les discussions avec sa famille et ou ses amis immigrés.

 

Des voyages qui l’amenèrent à de se confronter physiquement ou sous forme d’interrogatoires arbitraires à la férocité, la perversité et la corruption des représentants des pays totalitaires :

-Matraqué au point d’être mis ko par des policiers franquistes et jeté dans une prison moyenâgeuse, pour avoir tenté de porter plainte par suite d’un vol de ses effets contenus dans sa voiture.

 

-Obligé de s’interposer physiquement en République Démocratique Allemande (RDA) entre son épouse et un policier fou furieux qui, selon ses termes, n’avait pas accepté que celle-ci « soutienne son regard » lorsqu’il leur avait demandé de stopper leur véhicule.

-Retenu une matinée par un douanier roumain véreux, sous-prétexte d’une éraflure de la peinture de la voiture

-Interrogé par un policier yougoslave corrompu qui lui rendit la liberté contre de l’argent

 

Des voyages qui lui firent comprendre que le mot « liberté » pouvait revêtir différents aspects selon les pays et les cultures :

-La liberté retrouvée, la démocratie, comme en Grèce après la disparition de la Dictature des Colonels.

-La liberté de pouvoir se déplacer dans de grands espaces : Berbères au Maroc ou Lapons en Scandinavie.

-La liberté due à la paix comme en Allemagne ou en Autriche, où les vestiges de la seconde guerre mondiale, les anciens camps de concentration, rappelaient la période nazie.

 

Des voyages qui le plongèrent dans un contexte de guerre :

-En Turquie, en conflit avec la Grèce, où il fut arrêté, la baïonnette contre la poitrine, puis mis en joue. Il dut son salut à l’arrivée d’un officier avec qui il s’entretint en anglais. Tout ceci alors qu’il recherchait, avec ses compagnons de voyage, en zone autorisée, à la lumière du projecteur situé à l’avant de leur 2 CV, une zone idéale pour dormir à la belle étoile.

-En Israël, où alertes terroristes, fouilles ou encore climat de peur, pour ne pas dire de panique, dans un autocar le long de la frontière jordanienne faisaient partie du quotidien.

 

Des anecdotes qui l’amenèrent un temps à envisager comme titre de son livre : « Des prisons franquistes au peloton d’exécution turc ».

Des voyages qui, parce que « L’humain était au cœur de ses voyages », lui firent faire de très belles rencontres :

-Dans le Haut-Atlas marocain : un soir à minuit, partage d’une galette de pain et d’un œuf avec une famille très pauvre, suivi d’une nuit à la belle étoile, allongés côte à côte, les hôtes dans leurs sacs de jute et l’auteur et ses compagnons de route dans leurs sacs de couchage.

-En Bulgarie, en Pologne ou en Yougoslavie, où des familles le reçurent avec beaucoup de chaleur, oubliant pour quelques heures la dure réalité de leur quotidien due au régime politique.

-En Grèce avec la rencontre de moines orthodoxes vivant en totale autarcie dans des monastères implantés bien loin de toute présence humaine.

 

Des voyages dont il se souvint plus tard dans sa vie professionnelle en aidant des ouvriers forestiers marocains et turcs, dont il avait la charge dans ses chantiers de reboisement, à mieux vivre l’éloignement de leurs familles en évoquant avec eux des souvenirs de ses voyages dans leurs pays d’origine.

 

Des voyages qui, avec le recul des années, lui ont démontré :

-Combien il était naïf, en dessinant sur le plafond de la 2 CV une carte de l’Europe en espérant qu’à l’avenir les pays de ce continent pourraient se regrouper en une Fédération d’Etats Européens, tous démocrates, sans dictature, où la paix régnerait grâce à une défense collective.

 

En 2022, la Russie et la Guerre en Ukraine ont démontré le contraire.

 

-Combien il était utopique, en portant en Israël un tee-shirt sur lequel étaient imprimées deux colombes de la paix, l’une juive et l’autre musulmane, se tenant par le bras.

Aujourd’hui, le conflit israélo-arabe perdure.

 

Des voyages qui lui font dire aujourd’hui, comme ses parents et ses amis de son village qui avaient fui le totalitarisme le lui disaient durant sa jeunesse :

 

Méfions-nous de la Dictature, synonyme d’avilissement de l’être humain.

 

Savourons la liberté et la paix que nous offre la Démocratie.

 

 

 

 

Démocratie, je la savoure

GERARD BRETIERE

 

 

 

 

 

 

 

Couverture du livre

-Vercors

-2 CV en Anatolie

-4L au Cap Nord devant le soleil de minuit.

Le livre est en vente Au Puy en Velay à la maison de la presse et à la FNAC

 

Tee-shirt israélien : deux colombes de la paix. Espoir ou utopie ?

Auparavant Gérard Bretière publie un premier roman teinté de ruralité. 

Dans De cultivateur à poilu, la revanche à tout prix, l’auteur décrit une tranche de vie en Haute-Loire à la fin du XIXème siècle. Un hommage aux paysans et paysannes dans un monde en mutation.

Il s’est inspiré de faits réels et par l’histoire de sa famille après une expérience personnelle : la découverte d’une tombe d’un poilu de Haute-Loire à Verdun.

 

 

Auteur : livres déjà parus

-Balades dans les vieilles rues du Puy-en-Velay. 2012

-Arbres et arbustes au fil des saisons-Comment les reconnaître ? 2013

-De cultivateur à poilu, la Revanche à tout prix. 2021

 
   
   
   
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