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Auvergne une région magnifique à explorer. Vous y verrez les villages d'Auvergne. Les traditions et cuisine auvergnates. L'histoire et les légendes d'Auvergne, Des photos du siècle dernier. Les blogs et site qui parlent de notre région. Les personnalités auvergnates. La littérature du terroir. Des histoires drôles. Des photos de votre jeunesse . Et enfin une impression de faire partie de ce site tant les situations et évènements vous ressemblent. Bonne visite Vous pourrez également me soumettre des articles concernant votre village ou hameaux . Me parler des histoires locales M'envoyer des photos de familles anciennes en précisant bien le lieu ou la situation Voici mon adresse émail. retrauzon43@gmail.com

Blagues auvergnates Tome 4

 

Dans une ferme du Cantal  Régis  va trouver son patron.et lui montre son chèque:
- Il manque vingt Euros sur mon chèque du mois, dit-il.
- C'est exact, mais tu oublies  que tu avais reçu vingt euros  de trop la semaine dernière.

C'est curieux, mais tu ne t’ai pas   plaint à ce moment-là?!"

Et Régis de répondre
- Une erreur, ça va, je peux passer dessus, répond le gars, mais pas deux d'affilées!

Dans un quartier de Clermont (que ne nous citerons pas) Raymond  va consulter son médecin:
- Je suis très ennuyé, docteur, mon fils a couché avec une fille qui lui a refilé une sale maladie...
- Qu'il vienne me voir.
- C'est que, poursuit le malheureux, il l'a refilé à la bonne.
- Oh oh!
- Et la bonne me l'a transmise.
- Ah, la, la! Bon! Voyons ça!
- Mais c'est pas tout, docteur! Avoue encore Raymond, forcément, moi, au courant
de rien, j'ai du la refiler à Denise ma femme...
- N... de D...! Hurle alors le médecin, alors, à cause de ce petit con, nous

voila tous contaminés!

 

Le dimanche matin au marché de Brassac les Mines trois dames papotent et évoquent leurs achats

Marie :

-  je suis allée au primeur vers le kiosque il a de très beaux légumes  j'y ai acheté de très belles tomates elle étaient grosses comme çà en montrant ses deux poings.

Ginette :

- Je crois qu'il vient d'Azerat moi j'y ai pris des courgettes elles étaient grosses comme çà et  avaient cette longueur en ajoutant les gestes à ses paroles.

Adèle très coquette mais un peu sourde :

- Comment dites vous qu'il s'appelle ce jeune homme.

 

Il y a quelques années à la foire à Brion , le jeune Michel  va voir un paysan, et lui achète un âne pour 100 F (je vous l'avais dit, c'est il y a quelques années, on parlait encore de francs).

Et ils conviennent que le paysan viendra livrer âne le lendemain au jeune homme.
Le lendemain, le paysan arrive, mais malheureusement, âne est mort entretemps.
- Ah bon, dit Michel  , alors remboursez-moi mes 100 francs.
- Je peux pas, je les ai déjà dépenses...
- Alors dans ce cas, donnez-moi le cadavre de l'âne.
- Le cadavre ? Qu'est-ce que vous allez en faire ?
- Une tombola, je pense.  à Puy Guillaume çà marche bien ce genre de truc
- Mais qui voudra payer pour gagner un âne mort ???
- Ah, mais je ne leur dirais pas que l'âne est mort !
Quelques jours plus tard, le paysan recroise le jeune homme. Evidemment, il lui demande ce qu'il a fait du cadavre de l'âne :
- Comme je vous l'avais dit, j'ai fait une tombola. J'ai vendu 500 billets à 2 Frs, et j'ai fait un bénéfice de 898 Frs sur cette affaire.
- Et personne ne s'est plaint ?
- Oh, juste le gars qui a gagné. Alors forcement, je lui ai remboursé ses 2 Frs.

 

 

Il est très tôt le matin.

Un homme prend le téléphone et appelle pour qu'un taxi passe le prendre au Martre de Veyre et l'amène à l'aéroport d'Aulnat .

L'homme patiente environ une demi-heure, puis comme le taxi n'est toujours pas là, il appelle la compagnie de taxis. Là, on lui dit que le taxi est sur la route... Mais 15 minutes plus tard, c'est toujours pareil alors l'homme appelle la compagnie de taxis pour la troisième fois en hurlant presque:
- J'ai besoin d'un taxi de tout urgence, je dois prendre le vol 714 d’Easy Jet   pour Porto  et il décolle dans 30 minutes!
- Je suis désolé pour le retard. Votre taxi devrait être là dans quelques secondes maintenant. Mais ne vous en faites pas, vous ne manquerez pas votre avion parce que ce vol décolle toujours avec du retard.
- Oui, c'est sûr qu'il décollera en retard aujourd'hui en tous cas, car c'est moi le pilote!

Un grand antiquaire de Clermont Ferrand parcourt la campagne  pour dénicher au meilleur prix des meubles ou des objets anciens.

Il arrive dans une ferme non loin du plateau de Gergovie  et voit un petit chat qui boit son lait dans une écuelle qu'il identifie immédiatement comme datant de l'époque romaine. Une pure merveille !

Cachant du mieux possible son enthousiasme, il dit au paysan auvergnat :
- Ma femme a toujours eu envie d'avoir un chat. Si vous voulez vous débarrasser de celui-là, je vous l'achète...
- Pourquoi pas ? répond le fermier. Si vous me donnez deux cents euros, il est à vous.
- Marché conclu ! dit l'antiquaire.

Il sort deux billets de cent euros, les donne et ajoute nonchalamment :
- Pour qu'il ne soit pas trop dépaysé, je vais emmener son bol...
- Ah non ! fait le fermier, le bol vous le laissez ici ! Depuis le début de l'année, il m'a déjà fait vendre quinze chats...

 

C'est le Léon un vieil homme de 80 ans qui réside non loin du Vernet la Varenne  qui va voir son docteur pour un bilan annuel.

Ce dernier lui demande comment vont les choses.
"Je suis en pleine forme !" , répond le vieillard. "Je sors avec une jeune fille de 18 ans et je l'ai mise enceinte ! tout le village me jalouse

Qu'est-ce que vous pensez de ça, docteur ?"
"Laissez-moi vous raconter une histoire. C'est une histoire vraie.

J'ai un ami qui est un passionné de chasse, il est de Sugères et  il n'a jamais manqué une saison.

Un jour, alors qu'il s'en allait chasser et qu'il était distrait, il se trompa et au lieu de prendre son fusil, il prit son parapluie.

Alors qu'il se trouvait non loin de St Jean des Ollières  dans un fourré, il aperçu un sanglier qui fonçait sur lui. Il saisit son parapluie, l'épaula et appuya sur la poignée. Savez-vous ce qu'il se passa ?"
"Non" répondit le vieillard interloqué.
"Et bien le sanglier tomba raide mort à ses pieds !"
"C'est impossible !" s'insurgea le vieillard. "Quelqu'un a tiré à sa place..."
"C'est exactement où je voulais en venir..

 

Marcel bon  auvergnat  qui avait travaillé toute sa vie et épargné son argent…. Mais Il aimait l’argent plus que tout et juste avant de mourir il dit à sa femme : « Lorsque je mourrai, je veux que tu mettes tout mon argent dans le cercueil avec moi, ce sera pour ma vie après la mort ».

Bien à contrecœur, sa femme lui fit le serment de mettre tout son argent dans le cercueil avec lui et peu de temps après, il mourut…

Au cimetière, il était étendu dans son cercueil entouré de quelques amis, membres de sa famille et de son épouse toute de noir vêtue. Comme la cérémonie se terminait, juste avant que le cercueil ne soit refermé et porté en terre, l’épouse dit: «Attendez une minute».
Elle prit alors une boîte qu’elle déposa dans le cercueil près de son époux. Les préposés firent alors descendre le cercueil dans la fosse.

Un ami lui dit alors: «Écoute bien, j’espère que tu as été assez intelligente pour ne pas mettre tout son argent dans le cercueil avec lui comme il te l’avait demandé ?»
L’épouse bonne auvergnate lui répondit : «Bien sûr que si, je suis une bonne chrétienne et je ne puis revenir sur la parole faite à un mourant de mettre son argent avec lui dans le cercueil », et elle ajouta : « Je lui ai fait un chèque ».

C'était il y a bien des années avant que la  paroisse de Sainte Marie des Lacs et des Couzes existe le  curé   se promène dans la nature vers La Godivelle et tout à coup il s'enfonce  pris dans une tourbière.

 Alors qu'il a de l'eau aux chevilles, un camion de pompiers venant d'Espinchal  passe par là.
- Vous avez besoin d'aide ?
- Ce n'est pas nécessaire, le seigneur me viendra en aide !
Alors que le curé s'enfonce jusqu'à la ceinture , le camion repasse et les pompiers lui reposent la question.
- Vous avez besoin d'aide ?
- Ce n'est pas nécessaire, le seigneur me viendra en aide !
Lorsque le curé n'a plus que la tête hors de la tourbe , les pompiers passent une troisième fois
- Vous n'avez toujours pas besoin d'aide ?
- Ce n'est pas nécessaire, le seigneur me viendra en aide.
Alors le curé s'enfonce complètement et lorsqu'il arrive au Paradis, il dit au seigneur :
- Je suis vraiment déçu, je pensais vraiment que vous me viendriez en aide !
Et le seigneur lui répond :
- Je t'ai envoyé 3 fois les pompiers, je ne vois pas ce que je pouvais faire de plus !

 

Le Marcel et l'Odette  se balade en voiture dans la campagne Auvergnate .

Puis au hasard de la discussion et  au vue d'un paysage montagneux .ils se mettent à parler d'un  parent  qui vit du coté de La Godivelle et le Marcel  petit Clermontois "Bobo" rabaisse le cousin d'Odette plus bas que terre en le traitant de bouseux et de radin  ce qui agacent celle ci et décide de ne plus lui adresser la parole.
Passant devant une ferme aux environs de Pouchenirgue où on y voit des ânes et des cochons, le Marcel  ose briser le silence et dit :

«Tiens, de la famille à toi?»

 Son épouse répond du tac au tac:

«Oui, par alliance!»

 

Un homme qui a eu un passé mouvementé  vit depuis plus de 40 ans dans les montagnes d'Auvergne et à bien appris au contact des villageois .

Il aimerait bien planter des pommes de terre dans son jardin, mais il est tout seul, vieux et faible

Mais comme il a eu l'occasion  de participer à des séances d initiation à l'informatique lors de séjours à Riom il envoie un courriel à son fils qui étudie à Paris pour lui faire part de son problème:
"Cher Adrien , je suis très triste car je ne peux pas planter des pommes de
terre dans mon jardin.
Je suis sûr que si tu étais ici avec moi, tu aurais pu m'aider à
retourner la terre. Ton père qui t'aime. Jojo."

Le lendemain, le vieil homme reçoit ce courriel  d'Adrien qui malgré qu'il soit à Paris à su garder son instinct auvergnat:

Cher Père, S'il te  plaît, ne touche surtout pas au jardin! J'y ai caché ce que tu sais..
Moi aussi je t'aime.

Ton fils Adrien.

À 4 heures du matin arrivent chez le vieillard la Brigade
Antiterroriste et  le GIGN et même FR3 Auvergne et Lamontagne

Ils fouillent tout le jardin, millimètre par millimètre,
et repartent bredouilles.

Quelques heures plus tard, le vieil homme  reçoit un nouveau courriel de son fils :

 Cher Père, Je suis certain que la terre de tout le jardin est désormais retournée et que tu peux planter tes pommes de terre.

Je ne pouvais pas faire mieux.

Ton fils qui t'aime,

Adrien.

Nous sommes sur les monts du Sancy un  berger auvergnat  faisait paître son troupeau en  flanc de montagne en bordure d'un chemin quand, d’un nuage de poussière, surgit une rutilante Range Rover venant dans sa direction. Le chauffeur, un jeune homme immatriculé 75 dans un complet Armani, chaussures Gucci, verres fumés Ray Ban et cravate Hermes, se penche par la fenêtre et demande au berger :
"Si je peux vous dire exactement combien de moutons il y a dans votre troupeau, m’en donnerez-vous un ?"
Le berger regarde le jeune homme, puis son troupeau broutant paisiblement et répond simplement :
"Certainement miladiou "
L’homme gare sa voiture, ouvre son ordinateur portable, le branche à son téléphone cellulaire, navigue sur Internet vers la page de la NASA, communique avec un système de navigation par satellite, balaie la région ouvre une base de données et quelques trente fichiers Excel aux formules complexes. Finalement, il sort un rapport détaillé d’une dizaine de pages de son imprimante miniaturisée et s’adresse au berger en disant :
"Vous avez exactement 1.586 moutons dans votre troupeau."
"C’est exact" dit le berger. "Et comme nous l’avions convenu, prenez-en un".
Il regarde le jeune homme faire son choix et expédier sa prise à l’arrière de son véhicule, puis il ajoute :
"Si je devine avec précision ce que vous faites comme métier, me rendez-vous mon mouton ?"
"Pourquoi pas ?" répondit l’autre.
"Vous êtes consultant" dit le berger auvergnat
"Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?"
"C’est facile. Vous débarquez en pleine montagne  alors que personne ne vous l’a demandé, vous voulez être payé pour avoir répondu à une question dont je connais la réponse et, manifestement, vous ne connaissez absolument rien à mon métier car vous avez pris mon chien."

 

C'est un curé qui en à plus que assez que les femmes de son village auvergnat dont je suis obligé de taire le nom  viennent lui confesser leurs infidélités.

Alors il instaure un règlement secret les obligeant a dire qu'elles avaient "glissé devant la fontaine" pour désigner leurs actes.

Mais le curé mourut d'une mort subite , et le remplaçant envoyé par le diocèse du Puy ne fut pas mis au courant de la coutume. Et toutes les femmes venaient se confesser comme à l'habitude. Puis un jour, il partit trouver le maire au bistrot du village et lui dit:
- "Monsieur le maire ce n'est pas possible! Votre fontaine est bien trop dangereuse, les femmes ne font que me dire quelle y glisse devant. Il faut faire quelque chose."

Là dessus tous les hommes se mettent à rire, le maire nouvellement élu y compris. Et le jeune curé annonce:
- "Oh mais ne riez pas comme cela monsieur le maire! Car votre femme rien que cette semaine, elle y a glissé trois fois! "

Dans les rues de Brioude , Baptiste 78  ans retrouve son ami d'enfance Marcel.

Qu'est que tu fais  au Postel çà faisait longtemps qu'on s'était vu .

- Je cherche Audika

- Pourquoi t'as des problèmes

- Non pas moi c'est ma femme je crois qu'elle est sourde quand je lui parle elle ne me répond pas.

- Avant d'aller acheter quoique ce soit si tu veux voir si elle est sourde tu lui parles à cinq  mètres et progressivement tu avances jusqu’à ce qu'elle t'entende .

Le voilà reparti à Lamothe, arrivé chez lui Marcel se place à cinq mètres  de sa femme et lui dit:

- Qu'est qu'on mange ce soir

Il écoute aucune réponse

Il avance à quatre  mètres repose la question toujours rien

puis à trois mètres toujours aucun son

à deux mètres  encore rien

Puis à un  mètre sa femme lui répond  en criant:

- ça fait  cinq fois que tu poses la question et que je te répond  "Jambon Truffade"

 

Dans un petit village du Cantal dont je tairais le nom, fidèle à ses habitudes, une petite vieille assiste à la messe du matin, quand tout à coup le curé dit :
- Que tous ceux qui ont commis le péché d'adultère s'avancent.

La petite vieille, un tantinet dure d'oreille, demande à Gaston un plaisantin du village de l'autre coté de la Cère.
- Qu'est-ce que vient de dire monsieur le curé ?
Ce dernier répond :
- Il a dit que tous ceux qui désirent une pastille Vichy  s'avancent.
La petite vieille, chancelante et s'appuyant sur sa canne, se lève alors avec peine.
Le curé lui lance, offusqué :
- Vous ? Madame, une cantalienne de naissance ? A votre âge, vous n'avez pas honte ?
- C'est pas parce que je n'ai plus mes dents que je ne suis pas capable d'en sucer une de temps en temps, vous savez !

 

A la maternité Paul Ardier à Issoire trois amis discutent dans la salle d’attente.

L’un des leurs va devenir papa pour la première fois. Afin de le distraire, les deux amis parlent de leur première expérience en tant que père.
- Il m’est arrivé une chose extraordinaire, dit l’un des amis. Ma femme a lu durant toute sa grossesse «Deux orphelines» et elle a accouché de deux filles.

Interloqué, le deuxième ami raconte que sa femme avait lu «Les trois mousquetaires» pendant sa grossesse et qu’elle avait par la suite donné naissance à trois garçons.

Soudain, le futur père de famille blêmit.
- Qu’est-ce qu’il t’arrive, Julien ?
- Et bien, la seule histoire que ma femme ait lu durant sa grossesse, c’était «Ali baba et les 40 voleurs»…

 
 
L'histoire s'est déroulée il y a quelques années dans un village près de Langeac.
 
Ce bourg ayant connu des graves évènements pendant la guerre le curé de ce village reçoit pour l'occasion à diner le chanoine du diocèse du Puy.
 
Alors il met les petits plats dans les grands, demande à sa bonne de se surpasser, et sort le service en argent qu'il a hérité de sa mère.
Le dîner se déroule très bien. Mais, une fois le chanoine parti, le curé s'aperçoit que la louche à disparu.
"Un homme d'église de son rang ! il ne m'a tout de même pas volé ma louche en argent ! " pense-t-il.
Mais les jours passent et il se dit, en bon auvergnat qu'il est ,qu'après tout il s'agit d'une pièce trop importante pour qu'on puisse l'emmener par inadvertance. Alors il se décide à écrire la lettre suivante :
 
"Monsieur le chanoine, je ne dis pas que vous avez emporté ma louche en argent, je ne dis pas que vous ne l'avez pas emportée, mais si jamais vous l'aviez emportée, soyez assez aimable pour me la rendre."
 
Trois jours plus tard, il reçoit la réponse :
"Monsieur le curé, je ne dis pas que vous couchez avec votre bonne, je ne dis pas que vous ne couchez pas avec votre bonne. Mais si vous dormiez dans votre lit, vous y auriez déjà retrouvé la louche que j'ai glissée entre les draps..."

 

 

C’est l’histoire d’un vieux couple d'auvergnats , marié depuis 45 ans. Ils vivent paisiblement aux environs de saint Alyre

L’homme appelle son fils qui vit à Marseille et lui dit :
- Je suis désolé de te gâcher ta journée, mais je dois te dire que ta mère et moi, on a décidé de divorcer, 45 années comme ça c’est assez !

- Mais qu’est-ce que tu racontes papa !

- Nous ne pouvons plus rester ensemble plus longtemps, nous ne nous supportons plus et je ne veux pas en discuter davantage, je suis à bout, alors appelle ta sœur qui vit à Paris et annonce lui la nouvelle !

Et le vieil homme raccroche.

Le fils reste abasourdi et appelle sa sœur qui explose au téléphone : « Ce n’est pas possible qu’ils divorcent comme ça, je vais m’occuper de ça ! »

Elle appelle son père immédiatement, en hurlant dans le téléphone : « Tu ne vas pas divorcer comme ça, attends jusqu’à ce que j’arrive. Je vais appeler mon frère et nous serons chez toi dès demain matin ! Jusque là, ne fais rien, ne bouge pas, TU M’AS COMPRISE ? » Et elle raccroche.

Le vieil homme raccroche lui aussi et se tourne en souriant vers sa femme t'inquiètes :
« tu vois , ça a marché ma chérie, nous aurons les enfants avec nous pour notre anniversaire de mariage et en plus ce sont eux qui payent leur voyage çà nous coutera rien.

 

 

C'était il y a quelques années(il y a prescription).

Un enseignant d'un collège Toulonnais demande fièrement à ses élèves :
— « Qui est supporter du RCT ?
— Tout le monde lève la main sauf le petit Bernard dans un coin de la classe. (faut dire qu'il est natif de Parentignat )
— Le prof, surpris lui demande :
— Pourquoi ne lèves-tu pas la main comme tous tes  camarades ?
— Car je suis pour l'ASM monsieur ! »...
Alors le prof lui demande des explications ...
— « Ma maman et mon papa sont pour Montferrand, toute ma famille est pour Montferrand , donc moi aussi je suis pour l'ASM ! »
Très énervée ,le prof très chauvin hurle et lui rétorque :
— « Et si ta mère était une salope, ton père un con et toute ta famille des bons à rien, tu serais quoi toi ?
— Un supporter du RCT, monsieur ! »

 

Nous sommes entre Compains et  Brion un après midi du mois de Novembre Perdu dans le brouillard, un clermontois  est tombé en panne d'essence,il  erre sur le plateau luttant le blizzard , un bidon à la main. Au bout d'une demi heure , il trouve enfin une habitation. C'est une minuscule bicoque, mais il est trop épuisé pour faire le difficile. Il frappe à la porte et demande :
Il y a quelqu'un ?
Oui, il y a moi ! Répond une voix d'enfant.
Ton père n'est pas là, dit l'automobiliste.
Non, dit l'enfant, il vient de sortir.
Alors ta maman ? Insiste notre homme.
Elle était là il y a un quart d'heure, mais elle est sortie quand papa est rentré.

Le clermontois , épuisé et à bout de nerf, s'énerve :
Mais, bon Dieu, vous n'êtes jamais ensemble dans cette famille !
Si monsieur, mais pas ici, répond le jeune garçon. Ici c'est les toilettes...

 

 

Cette l'histoire se déroule à Les Fourches Vers Saint-Rémy-de-Chaudes-Aiguës en limite du Cantal

Deux fermiers voisins qui ont un énorme problème, rien ne sépare les deux enclos des vaches de chacun des deux fermiers.

Ils se réunissent pour trouver un terrain d'entente, l'un des deux demande à l'autre :
- Comment va-t-on faire pour reconnaître nos vaches ?
L’autre dit :
- J'ai une idée et s'en va

Le lendemain toutes les vaches ont  une corne en moins

. Un des deux fermiers dit alors :
- Apparemment on a eu la même idée...nous avons coupé une  corne
Le lendemain , le même scénario se produit, les pauvres vaches étaient amputées d'une autre corne  

Le surlendemain les deux mettent une cloche aux vaches.

Mais toujours  aucun moyen de différencier les vaches à leurs yeux


Alors les fermiers en ont marre et décident de demander l'avis du maire :
- C'est simple dit Mr le maire à celui qui a sa propriété le  plus au sud et qui a  les vaches Aubrac :

-  les vaches beiges maquillées  sont à vous,

et  à l'autre qui avaient de belles Salers avant qu'ils les  amputent

-  et  les rousses foncées  sont à vous....

 

 

 

 

 

Le vieux Marcel  agonise sur son lit :

« Je sens que l’heure est venue,le notaire de Sainte Florine  m’a dit qu’il fallait faire mon testament. Alors voilà : pour toi l’André, 500.000 € qui te permettront d’acheter les terres vers La Fumade  que tu convoites tant.. Pour toi l’Gaspard, 400.000 € pour t’installer à  Brioude . Pour toi la Marie, bonne épouse, 300.000 € pour toute l’affection que tu m’as apportée. »

Alors il expire et dans un dernier soupir, murmure : « Voilà une bonne chose de faite !

 Mais où vont-ils trouver cet argent, nom de Dieu ? » 

 

 

C'est le jeune Marcel des Martres de Veyre   qui monte dans un train.
Dans le compartiment se trouvent deux hommes cravatés tapant sur leur ordinateur. Le jeune  auvergnat  s'installe près de ces deux hommes et commence à manger un sandwich.
Au bout d'un moment non loin de Clermont-Ferrand   , Marcel  demande à l'un des deux:
- Puis-je savoir où vous allez ?
- Et bien moi, je vais à PARISS.
Le jeune Auvergnat a mal compris et répond:
- PARISSSS.

Et le cravaté rétorque :
- OUI, PARIS avec deux S.

Le jeune homme se demande pourquoi Paris avec deux s mais n'en rajoute pas et continue à déguster son sandwich.
Plus tard, il s'adresse à l'autre homme cravaté et lui demande:
- Et vous, où allez vous ?
- Et bien moi je vais allez  Bordeaux avec deux X.

L'Auvergnat  ne répond pas et s'interroge sur ces deux hommes. Tout à coup l'un des deux hommes cravatés se tourne vers notre Auvergnat  et lui demande:
- Et toi, où vas-tu ?
- Et bien moi, je vais à Mâcon avec deux cons !

Deux élèves ingénieurs marchent le long de leur campus à Clermont Ferrand  lorsque l’un des deux dit à l’autre, admiratif :
– Où as-tu trouvé ce magnifique vélo ?
Le second lui répond :
– Ben en fait, je me promenais dans le jardin Lecoq et derrière une haie , je croise une super nana en vélo qui s’arrête devant moi, pose son vélo par terre, se déshabille entièrement et me dit :
– Prends ce que tu veux… J’ai donc choisi son vélo.
L’autre réfléchit un instant et dit :
– Tu as bien fait de prendre le vélo, les vêtements n’auraient sans doute pas été à ta taille.

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L
Bonjour, j'ai beaucoup aimé, les blagues bien sûr, mais aussi les différents reportages. L'Auvergne est aussi une passion pour moi. Et puis Auzon, je connais bien: j'ai passé toute ma jeunesse à Jumeaux, toutes les vacances, je les passaient chez mes grands-parents.
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