Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Auvergne une région magnifique à explorer. Vous y verrez les villages d'Auvergne. Les traditions et cuisine auvergnates. L'histoire et les légendes d'Auvergne, Des photos du siècle dernier. Les blogs et site qui parlent de notre région. Les personnalités auvergnates. La littérature du terroir. Des histoires drôles. Des photos de votre jeunesse . Et enfin une impression de faire partie de ce site tant les situations et évènements vous ressemblent. Bonne visite Vous pourrez également me soumettre des articles concernant votre village ou hameaux . Me parler des histoires locales M'envoyer des photos de familles anciennes en précisant bien le lieu ou la situation Voici mon adresse émail. retrauzon43@gmail.com

Histoires drôles auvergnates: Tome9

 

L’histoire  se déroule dans la ville de Brioude

C'est un petit garçon qui rentre de l'école en pleurant.

- Qu'as-tu, lui demande sa jolie blonde de maman

- J'ai eu un zéro en géographie.

- Pourquoi ?

- Je ne savais pas où est le Portugal.

- Tu ne sais pas ?! Quel idiot, passe-moi la carte de France.

 

Et la mère cherche, cherche ...

- Bon dieu, elle n'est pas assez précise, passe-moi la carte de l’Auvergne .

 

Et la mère cherche, cherche ...

- Elle est nulle cette carte, passe-moi la carte de la Haute Loire !

 

Et la mère cherche, cherche...

- Bon sang, ça ne peut pas être si loin le Portugal, la femme de ménage est portugaise, elle vient travailler tous les jours à vélo !!!

 

Dans un petit village de Haute Loire à la maison de retraite  un ancien ayant fait le maquis du Mont Mouchet  s’époumone,

et il crie : Le revolver, le fusil, la mitraillette vite vite.............

Au bout d'un moment l’infirmière énervée arrive et dit :

« Oh, ça va pas de crier comme ça. Vous vous croyez encore à la guerre ou quoi ! Et puis, c’est quoi cette odeur d’urine ? » .

Elle soulève les draps qui sont évidemment trempés.

Agacée, elle ajoute : « Vous êtes dégoutant en plus, vous auriez pu demander le pistolet »

Il crie : « Le pistolet ! Le pistolet ! Voilà ce que je cherchais !

Une vieille dame visite au château de Murol  en compagnie de sa fille et de son gendre. À un certain moment, elle se trouve tout près du guide. Elle lui demande discrètement :

- Dites-moi, monsieur, allons-nous visiter des oubliettes dans ce château ?

- Bien sûr madame, c'est même le point le plus intéressant de la visite !

- Dans ce cas, je vous demanderais de bien vouloir ne pas me quitter des yeux, à ce moment-là, s'il vous plaît.

- C'est entendu, madame. Mais pourquoi me demandez-vous cela ?

- Cette visite est une idée de mon gendre, et je trouve qu'il a beaucoup, beaucoup insisté pour qu'on vienne ici !

Dans les rues de Clermont Ferrand deux policiers font leur ronde à 2h30 devant les bars et aperçoivent un gars titubant vers son véhicule qui échappent ses clefs à trois reprises.
Ils se cachent dans le fond du stationnement et observent la scène.

Quatre des amis du gars en question s'approchent et lui et crient : Allez  Gaston ! Viens avec nous on va te ramener, t'es clairement pas en état de conduire !

Mais Gaston insiste longuement pour prendre son véhicule malgré l'offre de ses amis. Alors que ses amis prennent chacun leur véhicule respectif, les policiers attendent impatiemment que l'homme prenne la route pour l'intercepter.

Cinq minutes s'écoulent, dix minutes, quinze minutes et l'homme n'est toujours pas parti.
Finalement le moteur démarre et l'homme prend la route. Il ne fait pas 100 mètres que la police l'intercepte et lui fait souffler dans la ballon. Résultat: zéro point zéro d'alcoolémie.
Les policiers abasourdis, changent les piles de leur alcootest et recommencent le test... Toujours zéro. Un des policiers demande alors à l'homme de lui expliquer la situation.


L'homme répondit: Ben ce soir c'était mon tour de faire Sam!
Ton tour de faire quoi répondit le policier.
Mon tour de faire semblant d'être chaud pour que mes potes puissent rentrer tranquilles

 

L’histoire ce déroule dans les années 70 à Moriat dans le Puy de Dôme, Pitoune qui était parti depuis des années revient au village et s’aperçoit que rien à changé même le cordonnier au centre du bourg est là et se rappelle y avoir emmené des chaussures.

Il est d'autant plus surpris qu'il trouve par hasard dans son portefeuille le fameux ticket pour venir récupérer ses chaussures.

Même si cette histoire date d'il y a très longtemps, Pitoune décide tout de même d'entrer dans la cordonnerie.

Il appelle:

- Il y a quelqu'un ?

La voix d'un vieux monsieur résonne dans le fond:

- Oui, que puis-je faire pour vous ?

- Et bien, cela va peut-être vous paraître étrange, voir stupide, mais il y a 10 ans  je suis venu déposer des chaussures chez vous et je me demandais si à tout hasard vous ne les auriez pas gardé ?

Le vieux cordonnier demande:

- Qu'est-ce que c'était comme chaussures ?

- C'était des mocassins, répond Pitoune

- Hmmm... des mocassins..., dit le vieux, pensif. Des mocassins marrons ?

Pitoune est étonné que le cordonnier s'en rappelle:

- Oui !

- Avec un petit ruban rouge sur la chaussure gauche ? ajoute le vieil homme

- Exactement ! répond Pitoune, impressionné

- Un petit ruban rouge un peu décoloré à cause de la pluie ?

Pitoune est totalement bluffé, en plus de redécouvrir son village comme il l'avait quitté il y a 10 ans, le cordonnier se souvient des chaussures qu'il lui avait laissé à cette époque.

Il finit par acquiescer:

- Oui ! Oui c'est ça ! C'est bien ça !

Alors le vieux lui dit:

- Et bien ne vous inquiétez pas monsieur, elles seront prêtes mardi !

A la poste à Brassac-les-mines une brave mamie se présente devant la guichetière :

- Bonjour madame, je voudrais retirer 50 euros, s'il vous plaît.

- Désolé, madame, au guichet on ne peut retirer que des sommes égales ou supérieures à 300 euros. En dessous,  vous vous servez au distributeur automatique,  dans le sas à l'entrée de l'agence.

- Oui, mais je ne sais pas m'en servir.

- Dans ce cas, revenez cet après-midi. J'aurai une collègue qui vous expliquera comment faire.

- Mais... Je n'ai pas le temps de revenir. Alors, donnez-moi 300 euros, s'il vous plaît !

- Très bien, madame. Voici 300 euros. Voulez-vous faire une autre opération ?

- Oui. Je voudrais déposer 250 euros sur mon compte, s'il vous plaît.

 

A la foire à Issoire deux paysans parlent de leurs enfants. L’un demande :

- Et ton grand, qu’est-ce qu’il fait maintenant ?

- L’Albert ? Il est agriculteur à Paris, depuis cinq ans déjà !

- Bou Diou, à Paris ?

- Oui. Il m'a dit qu'il habite aux Champs-Elysées et  qu'il travaille au Champ-de-Mars ! Mais moi ce que j'en dit j'y chuis jamais allé.

- Et…il vit bien ?

- C’est sûr en ville çà rapporte plus que chez nous il m'a dit qu'il vend de l’herbe, qu'il récolte du blé et qu'il se fait beaucoup d’oseille !

Un grand antiquaire de Clermont parcourt la campagne pour dénicher au meilleur prix des meubles ou des objets anciens.

Il arrive au hameau du Brugelet dans une ferme et voit un petit chat qui boit son lait dans une écuelle qu'il identifie immédiatement comme datant de l'époque romaine. Une pure merveille !

Cachant du mieux possible son enthousiasme, il dit au paysan :
- Ma femme a toujours eu envie d'avoir un chat. Si vous voulez vous débarrasser de celui-là, je vous l'achète...
- Pourquoi pas ? répond le fermier. Si vous me donnez deux cents euros, il est à vous.
- Marché conclu ! dit l'antiquaire.

Il sort deux billets de cent euros, les donne et ajoute nonchalamment :
- Pour qu'il ne soit pas trop dépaysé, je vais emmener sont bol...
- Ah non ! fait le fermier, le bol vous le laissez ici ! Depuis le début de l'année, il m'a déjà fait vendre quinze chats......

Au jardin Le coq  à Clermont Armand est assis sur un banc et ne peux s’empêcher de regarder fixement un punk avec une crête rouge.

Le punk énervé lui dit :

- Alors le vieux, tu n’as jamais fait un truc un peu fou dans ta vie ?

L'Armand de répondre:

- Si, un jour j’ai tellement picolé qu’après j’ai fais l’amour à une poule et là je suis en train de me demander si tu ne serais pas mon fils !...

 

Marie une Clermontoise coquette vient de perdre son mari.

Son amie de Riom  lui rend visite, elle confie :

- Mon François était merveilleux, il a pensé à tout. Il m'a laissé trois enveloppes à ouvrir après sa mort.

Dans la première il y avait deux mille euros avec ce mot : pour la messe à notre Dame du Port et les fleurs.

Dans la deuxième il y avait trois mille euros avec ce mot : Pour le cercueil en acajou.

Dans la troisième il y avait dix mille euros avec ce mot : Pour la pierre.

L'auvergnate  tend la main vers son amie et lui montre sa bague :

- Qu'est-ce que tu penses du diamant ?...

Un bon vieux auvergnat se promène dans sa campagne natale et remarque un jeune tout fringuant s’abreuvant à l’eau d’un ruisseau qui descend du Sancy.

 

Il lui dit en patois:

-  pas beire l'aigue de la  ribeira mon brave gouillat, lé vacca on caga d'dans,! ! !

(Ne bois pas cette eau, mon garçon, les vaches ont chié dedans ! ! !)

 

Le jeune lui répond d'un air hautain:

-  Monsieur, parlez-moi en français s’il vous plaît, je suis un parisien, supporter du PSG et je ne comprends pas votre dialecte.

 

Alors le brave Auvergnat  lui réplique :

-  Bois doucement……… elle est froide !

 

A  Aurillac un soir d'hiver Marie se retrouve prise dans une tempête de neige au volant de sa voiture.

Elle ne panique pas, malgré la visibilité à peu près nulle, et se souvient que son père, qui avait la sagesse d'un Cantalou,  disait toujours que quand on est pris dans une tempête de neige, le mieux, c’est de repérer un chasse-neige et de le suivre… Et c’est ce qu’elle fît.

Après une heure et demie passée à suivre de très près l’énorme machine, celle-ci s’arrête et le conducteur, s’approchant de la (jolie) Marie, lui dit :

« Dites donc, ma p’tite dame, qu’est-ce que vous avez à me coller au cul comme ça depuis bientôt deux heures ? »

Et Marie de lui expliquer que, quand elle était petite, son père disait toujours… etc… etc…

Quand elle termine son explication, le chauffeur du chasse-neige hoche gravement la tête et dit :

« Bon, si c’est ce que vous voulez, pas de problème. Maintenant qu’on en a fini avec le parking d’Auchan, on va passer au parking de Carrefour »

 

Deux petites histoires du Dimanche

 

Dans ce petit hameau du Cantal deux petites vieilles se croisent dans la rue

- Comment vas-tu Marguerite ?

- Oh ! Je n’ai pas le moral… Je viens de perdre mon mari !

- Ah bon ! Qu’est-ce qui s’est passé ?

- Je l’ai envoyé dans le jardin chercher des carottes et des poireaux pour faire la soupe. Il a été pris d’un malaise. J’ai appelé les secours, quand ils sont arrivés, il était déjà mort. Une crise cardiaque…

- Qu’est-ce que tu as fait alors ?

- Des pâtes… !…tiens pardi………………….

 

A Saint George d'Aurac au Tilleul  un énorme camionneur est assis dans un bar pour boire un verre quand un petit type minable entre et demande à qui appartient le Pit Bull qui est dehors dans la cour.

Le camionneur gueule :
- C’est MON chien ! T’as un problème ?

Le petit mec répond :
- Non, il n’y a rien mais je crois que mon chien vient de tuer le vôtre …

Le camionneur se lève d’un coup et dit :
- QUOI ! Mais qu’avez-vous donc comme chien ?

L’autre type répond :
- Un Caniche nain …
- Un Caniche ! hurle le camionneur, putain comment un caniche peut-il tuer un Pit Bull ?
- Eh bien, répond le type, je crois qu’il s’est étouffé avec…

Maurice vend de la truffade et de la pompe aux pommes  dans une petite camionnette garée quotidiennement à un endroit très passager, juste devant le siège du Crédit agricole à Clermont.

 

Un jour son ami Robert lui dit :

 

- J’ai plus de sous pour finir le mois. Comme tes affaires marchent bien, j’ai pensé que tu pourrais peut-être me prêter cent euros ?

 

- Ma parole, fait Maurice, je voudrais tellement te rendre ce petit service, mon frère ! Mais je ne peux pas ! J’ai un accord avec le directeur du Crédit Agricole  : je ne prête pas d’argent, et lui ne vend pas de truffade ni de  pompe aux pommes…

Déja publié

Retour à l'accueil
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
J
ok
Répondre